Savant mélange de parcours atypiques et de passions variées, l’équipe qui compose la startup mint a été bercée par les médias numériques. Jasette sur la spécialisation comme moteur de croissance en compagnie de Catherine Lapointe-Senécal, stratège de campagnes numériques.

Croissance organique
Chez mint, l’obsession pour la performance est monnaie courante. À l’agence, l’équipe est composée d’overachievers. Depuis 2019, la dynamique agence spécialisée en publicité numérique propulse la croissance des entreprises d’ici. Maguire, ça vous parle? Client de mint. cVert aussi? C’est encore mint. The Unscented Company? You know the drill. En moins de 3 ans, la jeune startup est passée de 1 à 13 employé·es. «Ce n’est pas le pain sur la planche qui manque, confie Catherine. On est fort occupé·es, mais notre belle petite équipe nous permet d’être super proches de nos clients.» Sa motivation à sortir du lit le matin? Participer au succès et à la croissance d’entreprises locales.

Depuis ses débuts, l’agence fondée par Pierre-Olivier Verret n’a même pas eu à développer des stratégies d’acquisition pour agrandir son portefeuille client. Ce sont les marques elles-mêmes qui sont venues cogner à ses portes. Beau luxe. Puis, de bouche à oreille et de fil en aiguille, d’autres se sont ajoutées. À ce jour, l’agence compte 75 clients actifs mensuellement. Fort occupé·es, disait Catherine? L’un des premiers à avoir fait confiance à mint est nulle autre que Maguire. L’agence a su exporter le succès de cette marque haut de gamme montréalaise en propulsant les ventes physiques et en ligne. La boutique a conquis le reste du Canada et compte ouvrir une boutique dans la grosse pomme. Passant de 1 000$ d’investissement publicitaire par mois à 150 000$ en seulement 2 années, on peut dire que mint peut se targuer d’avoir réussi à propulser la croissance de Kase Me Design avec brio. Des histoires à succès comme celle-là, la stratège pourrait en jaser tout l’après-midi durant.

Spécialisation comme moteur de croissance
Alors que les agences offrent des services tous azimuts au sein de leurs boîtes, la jeune startup a fait le pari de ne se concentrer que sur les «paid ads» pour en faire son expertise. Pourquoi? Pour la simple raison qu’elle préfère exceller dans un domaine plutôt que d’être convenable dans tout. «Nous avons pris le pari de nous concentrer sur une seule discipline pour bâtir une expertise rapidement. Ça nous a permis de développer un standard de qualité élevé plutôt que de jongler un peu maladroitement une offre de services plus étendue.»

Vous connaissez l’expression «on en mange»? mint mange, parle, et vit de «digital». L’univers du numérique est large, et parfois on peut s’y égarer. Catherine nous détaille que l’agence ne tient pas compte de la dimension dite plus organique, mais se consacre exclusivement à la publicité en ligne — donc tout ce qui est payant. «On injecte un budget pour faire de la publicité mesurable sur des plateformes telles que Facebook, Google, TikTok Ads.» Choisir mint, c’est se donner «la sensation d’avoir embauché son propre département de marketing de performance numérique», peut-on lire sur son site web. Les raisons qui poussent les clients de travailler avec elle? La proximité (l’équipe s’intègre à la vôtre), la passion des données et l’obsession ROI (littéralement) et l’extra mile (l’équipe n’hésite pas à aller au-delà de ce qui est demandé).

Avec plus d’un tour dans son sac, mint est assurément une équipe enflammée par la pub numérique. Souhaitant transmettre à la relève ses magic tricks, Catherine et son collègue Alexandre Jacob-Michaud, chef d’équipe, Données et performance, se sont rendus à l’Université Laval pour donner un cours 101 sur le numérique à la délégation de la FSA en vue de leur participation au Happening Marketing, qui se déroulait du 11 au 13 mars dernier. Intéressé·es par ce genre d’initiatives? Professeur·es et associations, dites-leur coucou!

mint recrute
Par ailleurs, l’agence est à la recherche d’un·e stratège de campagnes numériques pour se joindre à l’équipe et participer au succès d’entreprises canadiennes audacieuses. Avec un modèle hybride, les employé·es peuvent venir y bosser au bureau situé à Longueuil ou n’importe où sur la planète! «C’est la beauté du numérique», résume Catherine, sourire en coin, qui travaille chez mint depuis Québec. Pour postuler, c’est par ici!

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