Xavier Blais et Maxime Sauté, Rethink
Expression utilisée fréquemment :
Maxime : « Quelle klette ce peye. »
Xavier : « Ça brasse. » (Définitivement empruntée à Jeff Lee.)
Film(s) favori(s) :
Maxime : Dikkenek
Xavier : Annie Hall (1977) ou Batman Returns (1992) avec les commentaires audio de Tim Burton, dépendamment à qui je parle.
Occupation préférée :
Maxime : Revoir Dikkenek
Xavier : Définitivement cuisiner. Il y a quelque chose de très méditatif qui me permet de ne plus penser à autre chose qu’à mon mirepoix.
Fun fact :
Maxime : Le titre du film Dikkenek vient du Flamand « dikke » et « nek », verbatim pour « gros cou » et signifie littéralement « une grande gueule ».
Xavier : J’ai passé proche d’être le Roméo du remake québécois de Roméo et Juliette.Vous regarderez dans les special features du DVD, j’ai les cheveux longs et un petit échantillon de barbe sur le menton.
Depuis 4 ans, Maxime et Xavier ont contribué à faire de Rethink la troisième agence la plus récompensée au Québec, un tour de force pour l’agence qui ne compte que 25 employés. Durant cette période ils ont figuré trois fois au Top 10 du Creative Report Card, le palmarès des créatifs les plus récompensés au Canada établi par Strategy. Leurs projets ont été mentionnés dans le New York Times, Libération, Esquire, à CNN et à ESPN. Ils ont une (saine) obsession des idées qui transcendent la pub pour s’inscrire dans la culture populaire.
Avant d’être un couple créatif, Maxime et Xavier ont travaillé avec plusieurs partenaires différents et en solo, ce qui leur a permis de tester différents styles de collaboration. Au final, ils ont adopté une structure de travail où tout ne se règle pas dans une salle en brainstorm. Chacun s’inspire de son côté, en essayant des trucs, en« bizounant » des prototypes, puis le duo se rencontre pour partager ce qu’ils ont trouvé en chemin. « La bonne création c’est égoïste. Il faut y mettre du sien, de ses passions, sans quoi on est beaucoup moins investis dans les idées et ça se ressent dans l’exécution. Il faut (un peu) le prendre personnel sinon le produit est beaucoup moins humain », concluent-ils.