roy turner

Elisabeth Roy (elle), présidente, Roy & Turner

Nous sommes impressionnés par l’énergie, l’inépuisable enthousiasme, la curiosité et la bienveillance d’Elisabeth ainsi que par ses qualités de gestionnaire qui font en sorte que nous nous sentons privilégiés de travailler à l’agence. La loyauté des clients et l’ambiance de travail où règnent la joie et la solidarité sont deux preuves, parmi d’autres, qu’Elisabeth a su créer un environnement de travail vraiment unique. Elle est, pour nous tous et toutes, une femme inspirante !

-L’équipe de Roy & Turner

  • Quel est le meilleur conseil qu’on t’aie donné? Quand ça va mal, tiens-toi proche! C’est aussi vrai en affaires qu’en amitié.
  • Expression fréquemment utilisée : La vie est longue et le monde est petit… On finit toujours par recroiser les gens. Plusieurs personnes qui ont fait des stages à l’agence occupent aujourd’hui des postes de direction et sont nos clients, alors je suis contente qu’on les ait bien accueillis à l’époque!
  • Quel est le plus grand risque que tu as pris? Le plus grand risque que j’ai pris est d’emprunter 40 000$ à la banque pour partir à mon compte à 25 ans ! Mon père n’a pas voulu endosser ce prêt. Il m’a dit que si mon projet était viable, la banque me prêterait l’argent. C’est ce qui est arrivé!
  • L’endroit que tu as préféré visiter: Il y a quelques années, je suis allée à Ouagadougou au Burkina Faso. Bien sûr, je savais avant de partir que le bonheur n’avait rien à voir avec la richesse mais ce voyage m’en a donné la preuve par dix. De voir des gens qui n’avaient rien avoir l’air si heureux m’a prouvé ce que je pressentais: le plus important est le sentiment de faire partie. Faire partie d’une famille, d’un groupe d’ami·es, d’une équipe professionnelle, d’un quartier, d’un village. L’enfer, c’est d’être seul·e.

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C’est par hasard que j’ai découvert le métier d’attachée de presse à l’âge de 18 ans. Tout de suite, j’ai su que c’est ce que j’avais envie de faire dans la vie. Après avoir été coordonnatrice au Festival Juste pour rire pendant mes études, je suis devenue attachée de presse. Après quelques années, j’ai été recrutée par l’agence Communications Courville puis, à 25 ans, j’ai eu envie de partir à mon compte. De deux employés, l’agence est passée à trois puis à sept, neuf, quinze jusqu’à vingt aujourd’hui. En plus des services de relations de presse, l’agence a ajouté une offre médias sociaux. Au fil des ans, l’agence a reçu onze Félix comme Équipe de relations de presse de l’année et deux nominations comme Équipe de promotion web.