Jane Kuna, traductrice et réviseure, Bleublancrouge

Jamais sans notre Jane
Jane Kuna occupe une place à part au sein de Langage de marque, et pas seulement parce qu’elle est LA ressource anglophone de l’équipe. Ce qui la rend d’abord irremplaçable, c’est l’humaine qu’elle est.

Talentueuse, Jane? Rédactrice, réviseure et traductrice hors pair? Bien sûr, mais aussi heureuse comme un poisson dans l’eau dans l’univers changeant des communications et du marketing et taillée sur mesure pour la philosophie du collectif, comme en témoignent ses efforts pour faire connaître l’écriture inclusive et sa présence sur le comité Inclusion et diversité.

En fait, en langage de hockey, on dirait que c’est avec des joueuses comme Jane qu’on gagne des Coupe Stanley, parce qu’elle nourrit tout autant ses collègues qu’elle se dit nourrie par eux.

Le quotidien serait également drôlement moins vivant sans elle. Qui vouerait un culte à Jason Momoa? Qui distribuerait les surnoms à tout vent et raconterait des anecdotes sur son chat marabout presque aussi vieux que l’arche de Noé? Par-dessus tout, qui ensoleillerait nos journées avec son humour pince-sans-rire, son sens de l’écoute et sa présence dynamique et rassurante? 
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  • Qu’est-ce qui t’inspire?: Je suis impressionnée par les gens avec qui je travaille chaque jour. Ils font un boulot créatif et inspirant, et se pointent chaque matin avec le sourire (ou au moins, un demi-sourire), prêts à relever n’importe quel défi et à faire preuve de bienveillance – tout ça en écrivant des livres, en jouant au théâtre, en prenant soin de parents malades ou en gérant des tout-petits et des ados grognons. Ils me font rire, et je pense (j’espère) que je les fais rire en retour. Ce sont eux qui me font aimer ce métier.
  • Quelle serait la trame sonore de ta vie?: S’il y avait une trame sonore à ma vie, elle serait signée par Danny Elfman, parce que ces jours-ci, mon existence est à la fois ridicule, étrange, pleine de suspense et effrayante.
  • Un fait inusité : J’ai brièvement travaillé pour la GRC, mais je préfère ne rien déclarer de plus à ce sujet ;)
  • Un compte sur les médias sociaux à surveiller: Tout le monde devrait s’abonner au compte Instagram @audubonsociety. Je ne suis pas ornithologue, mais il y a quelque chose d’incroyablement beau et rassurant chez ces petites bêtes. En les regardant, je me dis que tout va bien se passer. Et cela nous rappelle certainement que nous avons beaucoup à protéger. Je vais souvent sur ce compte pour la beauté des photos et leur caractère apaisant.

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J’ai très tôt appris l’importance de l’ouverture d’esprit. Comme ma famille déménageait souvent quand j’étais jeune, je n’ai pas eu le choix de découvrir de nouvelles langues et cultures en cours de route. Une passion pour les voyages est née, puis l’étude des langues, de la littérature et de l’art dans les années qui ont suivi était à la fois une étape naturelle pour moi et un moyen de découvrir des cultures que je n’avais pas eu l’occasion d’expérimenter directement. Ma jeunesse m’a amenée à m’adapter et à nourrir ma curiosité.

Après 12 ans comme traductrice et rédactrice dans une agence de Montréal, où j’ai perfectionné mes compétences en rédaction et cultivé ma passion pour la langue anglaise, j’ai fait le saut dans le secteur du marketing et des communications chez Bleublancrouge, où j’espérais alimenter ma curiosité autant que ma créativité. Je n’ai jamais regretté ma décision.

Je travaille avec des équipes dynamiques et inspirantes sur des projets qui vont de l’humour et de l’excentricité à la sincérité et à la profondeur, et je ne m’ennuie jamais au bureau. Je suppose que c’est l’endroit idéal pour quelqu’un qui a toujours été habitué à passer d’un endroit à l’autre.