Jérémi Dupré, spécialiste marketing numérique, Standish

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• Ton compte LinkedIn : Jérémi Dupré (ajoute-moi, je suis full gentil).
• Qui admires-tu : Félix Daigle-Bérubé, pour son audace et sa capacité à élever à peu près n’importe qui au sommet de la pyramide du succès (les vrais savent). Sans joke, c’est Anthony Vendrame, dont la mission est de monétiser ses niaiseries, et qui est tellement créatif dans sa façon de voir des opportunités un peu partout.
• Un compte sur les médias sociaux à surveiller : Standish, beaucoup de choses s’en viennent, stay tuned. 👀
• Quel est le plus grand risque que tu as pris ? J’ai déjà essayé une autre option que celle que je prends toujours depuis 15 ans chez Subway. J’ai été déçu.

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Avoir du fun et apprendre. C’est ce que je me souhaitais pour ma vie professionnelle.

Au cégep, j'ai eu un parcours plutôt long dans lequel j'ai essayé plusieurs choses. Après deux programmes différents, je n'avais toujours pas la piqûre. Étonnamment, je l’ai eue grâce à mon emploi étudiant, au restaurant Eggsquis de Sorel, où je travaillais comme cuisinier. J’ai commencé à gérer les réseaux sociaux du restaurant et l’engagement était tellement bon que le siège social l’a remarqué et m’a félicité. C’est à ce moment que j’ai compris mon intérêt pour le marketing.

Je me suis donc dirigé vers une technique à Drummondville en Gestion de commerce dans laquelle j’ai multiplié les implications académiques : Place à la relève, compétition Hermès, organisation d’événements et comité étudiant ; j’avais trouvé ma voie.

J’ai poursuivi mon parcours en m’inscrivant à l’Université de Sherbrooke où j’ai fait un baccalauréat en double concentration : marketing et gestion des technologies d’affaires. En quête de connaissances, j’ai décidé de me spécialiser en m’inscrivant à la maîtrise en gestion de commerce électronique. J’y ai, entre autres, gagné la bourse d’excellence et me suis impliqué comme auxiliaire à l’enseignement. Mon projet final d'essai-intervention portait sur l’augmentation du taux de conversion (CRO) d’un site d’e-commerce de vente de planchers en ligne. C’est d’ailleurs dans le cadre de ma maîtrise que j’ai rencontré Karl P. Hardy, directeur général chez Standish, qui m’a enseigné deux cours. Il m’a, par la suite, approché pour travailler à l’agence Standish, où il voyait ma compatibilité avec l’équipe.

Chez Standish, j’ai commencé à titre de gestionnaire de campagnes numériques, mais mon rôle s’est rapidement élargi pour inclure des tâches liées au SEO, à la loi 25, au marketing par courriel et à la stratégie. Travailler avec des PME est stimulant, car on observe rapidement les résultats de nos efforts. Depuis 2 ans, j’évolue dans cet environnement où la collaboration, le plaisir, les défis et les apprentissages font partie du quotidien. À l’agence, j’ai la chance de profiter d’une grande autonomie et de pouvoir prendre des initiatives, ce qui, pour moi, fait toute la différence dans ma courbe d’apprentissage.

On peut dire qu’encore aujourd’hui, j’ai du fun et j’apprends constamment, et c’est ce qui me donne envie de me lever chaque matin.