Sandrine Gagné, conseillère, Morin Relations Publiques

• Qui admires-tu : J’admire toutes les femmes qui ont contribué à faire du Québec une société ouverte et moderne, surtout Janette Bertrand.
• Ton hobbie préféré: Pour moi, ouvrir un bouquin, c’est un bonheur quotidien. 55 livres lus en 2024 jusqu’à présent et ça continue, grâce notamment au Club de lecture qu’on organise chez Morin RP.
• Un projet dont tu es particulièrement fière : Plus qu’un projet... c’est mon implication au sein de la Fondation Mères avec pouvoir. Quel énorme privilège pour moi de pouvoir contribuer, à ma façon, pour qu’ultimement, des mères monoparentales et leurs enfants aient le meilleur futur possible.  
• Une chanson qui t’inspire : Impossible de choisir une seule chanson, ni même un seul album !! Pour travailler, je suis très inspirée par le dernier album d’Évelyne Brochu, les grands succès d’ABBA (la personne qui n’arrivera pas à rédiger un communiqué de presse de feu en écoutant Mamma Mia n’est pas encore née!) et bien sûr, toute la discographie de la reine, Céline avec un coup de cœur pour D'eux.

De la maternelle à mon entrée au CÉGEP, j’avais le même but : devenir… obstétricienne. Alerte au divulgâcheur : ce rêve ne s’est pas réalisé, mais c’est avec cet objectif bien en tête que j’ai commencé mes études postsecondaires en science de la santé. Après la première journée, le constat d’échec était total : les sciences n’étaient tout simplement pas pour moi, je devais faire une croix sur la médecine.

Après une crise existentielle, un flirt avec le Droit et une année de baccalauréat en études internationales à l’Université de Montréal, j’ai finalement choisi la voie des communications. Pour moi, ça semblait (car je n’y connaissais rien) allier tout ce que j’aimais : suivre l’actualité et la politique, lire et écrire, apprendre sur une foule de sujets et regarder les médias sociaux.  

Les relations publiques et moi, ça a été comme une blind date où tu quittes le restaurant en amour par-dessus la tête. J’ai choisi le baccalauréat avec beaucoup d’espoir, mais une connaissance très limitée de ce qu’étaient les relations publiques dans le monde réel. Dès que j’ai mis les pieds dans une agence (allô Morin Relations Publiques!) j’ai su que c’était pour moi. 

Depuis le premier jour chez Morin, j’ai la chance de travailler avec des collègues qui me font grandir grâce à leurs compétences et leur professionnalisme. Très rapidement, j’ai eu le privilège de collaborer avec des organisations extraordinaires pour faire rayonner leur impact dans notre société : la TD, le Regroupement des maisons des jeunes du Québec et Héma-Québec, pour ne nommer que ceux-là.

Mon travail est effervescent, varié, et fait œuvre utile ; il me permet de faire briller mes qualités et d’en développer des nouvelles. Maintenant forte d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en gestion, j’ai eu la chance d’ajouter plusieurs cordes à mon arc en travaillant sur des mandats de consultations publiques et en donnant des formations médias. J’ai même l’occasion très souvent de me replonger dans mes premiers amours en collaborant avec des clients comme l’Observatoire des tout-petits, Naitre et Grandir et une foule d’associations médicales. Comme quoi, on n’oublie jamais son premier rêve!