Manon Secail (elle), chargée de campagnes numériques, URBANIA

• Ton motto? J’aime bien me dire que rien n’arrive par hasard. Sinon, quand je veux faire ma drama queen je vais juste dire « c’est la vie » et manger des brownies, enroulée dans ma couette.
• Comment te démarques-tu? Mis à part mon accent du Sud de la France qui ne laisse pas mes collègues indifférents, je suis toujours de bonne humeur et souriante. J’ai beaucoup d’énergie et j’aime la partager.
• As-tu un talent caché ? J’ai une très bonne mémoire et je peux me souvenir de détails importants mais aussi insignifiants. Par exemple, je peux dire quel outfit portait telle personne tel jour à telle heure. Pas très utile en effet.
• Un de tes rêves professionnels? Mon rêve un peu fou serait d’avoir ma propre salle de concert et de développer un concept tout autour pour mettre en avant des artistes et différents savoir-faire liés à la musique et l’art en général.
• Quel est le plus grand risque que tu as pris ? Quitter le cocon dans lequel j’étais depuis 7 ans pour immigrer dans un nouveau pays. Finalement, je suis très épanouie à Montréal et j’espère y faire un petit bout de chemin (désolée maman!).

Salut! Je m’appelle Manon, je suis chargée de campagnes numériques chez URBANIA. J’ai un (petit) accent du Sud de la France et beaucoup (trop) de paires de sneakers.

Il faut savoir que je suis pas mal indécise. Ça se reflète sur mon parcours scolaire, puisque ça m’a pris quelques années avant de savoir vers quoi je voulais m’orienter. Une chose est sûre, j’ai toujours aimé l’art et la culture. Plus jeune, je voulais même être actrice ou journaliste. J’ai rapidement laissé ces envies de côté pour me concentrer sur des métiers «plus accessibles» (aka : je viens d’un petit village de province). Me voilà donc à changer de cursus 3 fois pour finalement m’orienter vers la communication numérique. Le cinéma n’étant pas si loin que ça: l’agence pour laquelle j’étais chargée de projets webmarketing avait comme clients différentes productions ciné. Ironiquement, mon deuxième job sera Traffic Manager pour un grand quotidien de presse régionale. Mais après de multiples confinements/couvres-feu, (au moins) 10 remises en question et la mort de Mike Delfino dans Desperate Housewives (je ne m’en suis jamais remise), j’ai enfin su ce que je voulais faire «quand je serai plus grande». Spoiler: cela n’a rien d’original, je voulais simplement travailler dans un environnement qui partage mes valeurs et qui me stimule. Et ce sont ces mêmes termes que j’utilise quand j’explique que je travaille chez URBANIA (coïncidence, un média!). J’ai débuté en tant que coordonnatrice au contenu de marque en créativité média. J’ai la chance d’évoluer dans une équipe talentueuse qui ne cesse de me tirer vers le haut. Si haut, que seulement neuf mois après mon arrivée, on m’a offert l’opportunité de grandir encore plus au sein d’URBANIA en occupant le poste de chargée de campagnes numériques. Désormais, je fais en sorte que nos contenus rayonnent dans toutes les sphères de l’internet! Si vous voyez passer une publication commanditée, c’est sûrement moi derrière. Je suis fière de faire partie des personnes qui participent à bâtir ce média. Je me sens également chanceuse d’avoir trouvé un travail dans lequel je suis épanouie mais aussi qui me pousse à sortir de ma zone de confort. J’ai même pu rédiger mon premier article (sur les sneakers évidemment).

J’avais d’ailleurs écrit suite à sa publication: URBANIA c'est la place où on te laisse être toi-même. Mais c'est aussi la place où on t'aide à devenir la meilleure version de toi-même, peu importe d'où tu viens. Et je trouve que c’est une belle conclusion.

P.S. : Tu as le droit de lire ce texte avec l’accent du sud.

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