Le 1er juillet marquera le premier anniversaire de l’entrée en vigueur de la Loi C-28, la Loi canadienne anti-pourriel.

À l’occasion de cet anniversaire, zendatamarketing invite les émetteurs de courriels commerciaux à s’assurer qu’ils respectent la loi.

«Certains des destinataires ont explicitement donné leur accord aux entreprises pour recevoir des communications, alors que d’autres ont signifié un consentement de façon tacite en entretenant une relation d’affaires. Il y a plusieurs nuances à distinguer et il est primordial d’y porter attention afin d’éviter une amende», a expliqué Antoine Grosfilley, vice-président Stratégie de zendatamarketing.

La Loi C-28 fixe les règles de transmission de messages électroniques commerciaux, notamment en rendant obligatoire l’obtention de consentement explicite ou tacite de la part des destinataires. M. Grosfilley pose les questions suivantes aux gestionnaires soucieux de se conformer à la règlementation C-28:

• Avez-vous fait ce qu'il faut pour pouvoir envoyer un message électronique commercial à une adresse courriel ?
• Avez-vous obtenu et documenté le consentement de vos destinataires ?
• Connaissez-vous les dates d’expiration de vos consentements tacites ?
• Vous êtes-vous clairement identifié dans vos communications commerciales ?
• Avez-vous offert un mécanisme de désabonnement efficace à vos destinataires ?

En ce 1er anniversaire de la loi anti-pourriel, zendatamarketing encourage les entreprises émettrices de courriels commerciaux à appliquer les bonnes pratiques d’affaires. Celles-ci incluent la conservation des informations relatives aux autorisations, l’automatisation du traitement des consentements, et dans le meilleur des efforts, le convertissement en des consentements explicites, et donc, illimités.