Connue sous le nom de OSL Marketing dès sa fondation en 1988, l’agence devint au fil du temps OL Marketing. Puis, tout récemment, l’entreprise a une fois de plus changé de nom pour devenir DIG, alors qu’elle passait dorénavant sous la tutelle de deux nouveaux associés: Dominic Bourdages (ex-OSL, -Publicis, -Baromètre, -Léger) et Frédéric Proulx (ex-Youville Communauté créative, -LVL Studio, -BBDO, SVY&R). Dans cet élan de renouveau, l’équipe en a profité pour déménager ses bureaux élisant maintenant domicile sur la rue Sainte-Catherine.

Au-delà de la publicité et du marketing traditionnels, DIG entend développer des solutions qui n’hésiteront pas à transgresser les codes implicites. Dans les cartons de la nouvelle entité, qui réfute jusqu’au nom d’«agence», on ébauche des scénarios dans lesquels DIG crée des propriétés intellectuelles autant pour elle que pour ses clients.

«Avec l’arrivée de Frédéric, on élargit notre offre de service en prenant un virage résolument numérique. Frédéric est un expert en marketing numérique et en advergaming, c’est aussi un spécialiste en monétisation des nouveaux médias. Ça ouvre la porte à beaucoup de possibilités... », laisse planer le nouveau vice-président et stratège principal de DIG, Dominic Bourdages. Rappelons que ce dernier était déjà responsable du service-conseil chez OLm depuis 2004. Il continuera de veiller sur la relation client dans la nouvelle agence tandis que Frédéric Proulx se concentrera davantage sur le développement.

Pour les nouveaux associés, l’objectif de toute intervention marketing qu’elle soit virtuelle ou physique reste le même: engager le consommateur dans un dialogue avec la marque qui soit pertinent et cohérent.

«J’ai décidé de faire le saut avec Dominic en le voyant travailler avec son équipe. J’ai aimé la créativité dans la résolution de problèmes, la réflexion stratégique, la rigueur et la qualité du produit final. On est sur la même longueur d’onde», ajoute Frédéric Proulx, président et chef de la direction de DIG.

À noter que Robert Otis et Claude Léger resteront actifs au sein de DIG, dont le portefeuille comprend les clients de l’ex-OSL, notamment la Banque Nationale et Citadelle.