Quand le prix du litre d’essence dépasse les deux dollars à la pompe, que les changements climatiques font de plus en plus de dommages, qu’il n’y a jamais de stationnement disponible, et que, malgré tout, certain·es insistent pour utiliser leur voiture, c’est à se demander ce que ça va prendre pour qu’il·elles prennent le guidon. C’est la question que pose Vélo Québec dans sa nouvelle campagne publicitaire développée avec Upperkut.

Du même coup, Vélo Québec désire mettre en place l’initiative Mon campus à vélo dont la mission est de développer une culture vélo au sein des établissements d’enseignement supérieur et d’ainsi offrir aux jeunes une occasion concrète de faire leur bout de chemin dans la lutte contre les changements climatiques.

Dans une première étape, l’agence a mis sur pied des groupes de discussion au sein de l’Incubateur d’Upperkut afin d’identifier les messages, la tonalité et les arguments les plus porteurs auprès de la cible.

«Les jeunes nous ont dit, de manière presque unanime, que c’était une évidence que le vélo était la façon la plus simple qui soit de se déplacer», dit Magali Bebronne, directrice des programmes chez Vélo Québec.

«Créativement, Il tombait sous le sens de souligner les nombreuses incohérences liées à l’utilisation de la voiture», déclare Ben Duquette, directeur de création. 

La campagne se décline en affichage sur les campus universitaires et collégiaux ainsi que sur les réseaux sociaux.

upper 1
upper 2