L’agence Upperkut a développé une campagne numérique et d’affichage en milieu de travail pour le compte de la FTQ afin de rappeler au grand public qu’au Québec, travailler en français, c’est un droit.

«Cette nouvelle campagne permet à notre centrale syndicale d’entreprendre un nouveau cycle de promotion du français au travail orienté sur l’exercice de ce droit et sur la fierté d’utiliser des expressions en français», commente Gilles Grondin, responsable du service de la francisation à la FTQ. Il rappelle au passage que le droit de travailler en français est inscrit dans la Charte de la langue française adoptée en 1977 par l’Assemblée nationale du Québec.

L’idée de la campagne est née d’un travail de recherche sur les meilleures manières de faire la promotion du français auprès du grand public. Les groupes de discussion ont souvent évoqué ressentir un malaise face aux campagnes moralisatrices. «L’idée de la campagne, c’est de rappeler aux gens que l’enjeu, ce n’est pas les petits anglicismes qui se glissent dans les conversations au quotidien. L’important, c’est que toutes les Québécoises et tous les Québécois puissent exercer leur droit de travailler en français», explique Marc Desnoyers, directeur du compte chez Upperkut.

Fait inusité pour une campagne de promotion du français, ses quatre exécutions utilisent un anglicisme afin d’attirer l’attention du grand public, tout en offrant le mot en français approprié pour un contexte de travail.

La campagne a été lancée le dimanche 20 mars dernier à l’occasion de la Francofête, célébrée chaque année au mois de mars, mois officiel de la francophonie.

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Crédits:
Clients : Gilles Grondin et Rima Chaaban pour la Fédération des travailleuses et travailleurs du Québec (FTQ).
Agence : Upperkut
Photographie : Marie-Reine Mattera