La Fondation cancer du sein du Québec lance la campagne C’est pas juste un cancer de matante, une campagne de sensibilisation 360 destinée aux jeunes femmes québécoises de 30 à 49 ans. Accompagnée par les agences Canidé, Upperkut et Seiya, la Fondation cherche à sensibiliser les femmes aux risques de développer un cancer du sein à un jeune âge, et les encourage à s’informer pour reconnaître les signes et symptômes du cancer du sein.

«Le cancer du sein est typiquement associé à des femmes plus âgées, pourtant, il s’agit du cancer le plus diagnostiqué chez les personnes de 30 à 49 ans, et c’est également la principale cause de décès par cancer pour ce même groupe d’âge, indique Caroline Piché, directrice, marketing et communication de la Fondation cancer du sein du Québec. Par le biais de cette campagne accrocheuse, on ne cherche pas à générer de la peur chez ces femmes, mais plutôt à les conscientiser et à les encourager à être à l’écoute de la santé de leurs seins. Par sa mission, la Fondation se doit d’éduquer les jeunes femmes et de leur rappeler qu’elles ne sont malheureusement pas à l'abri d’un diagnostic de cancer du sein.»

Pour marquer l’imaginaire, les équipes derrière la campagne ont choisi d’employer un ton direct et percutant, qui se dégage dans le titre, notamment. L’utilisation du terme «matante» ne vise pas à stigmatiser les femmes plus âgées qui sont également touchées par le cancer du sein, mais plutôt à susciter une réaction et une prise de conscience chez les femmes plus jeunes. Celles-ci ont possiblement vu des femmes plus âgées de leur entourage, dont des tantes, vivre avec un cancer du sein et ne pensent pas nécessairement qu’elles sont sujettes, elles aussi, à en développer un. La campagne mise donc sur ce référent auquel plusieurs jeunes femmes pourront s’identifier.

«L'idée du référent populaire "matante" qui sert de socle créatif à la campagne et qui inspire les univers visuels liés à la broderie ou aux soutien-gorge est née d'une séance de co-création avec la Fondation. On est vraiment fières du résultat, mais également du processus, qui a misé sur notre expertise publicitaire et sur la fine connaissance de la cible que possède la Fondation», ajoute Catherine Aumais, directrice du compte à l'agence Upperkut.

En plus de mettre sur pied une campagne publicitaire à la radio, sur le web les réseaux sociaux et en affichage, les agences et la Fondation ont déployé des contenus pour les réseaux sociaux, en plus d’assurer le rayonnement de la campagne par le biais de relations publiques et de marketing d’influence.

«Avec les relations publiques et le marketing d’influence, on cherche à provoquer des discussions dans les familles, les groupes d’amies, chez les femmes qui se sentiront concernées par la campagne, explique Constance Léonard-Tessier, conseillère principale chez Canidé. On collabore avec des jeunes femmes ayant des réseaux forts et engagés afin de les conscientiser et de les inciter à contribuer à ce bouche-à-oreille. On a aussi la chance de compter sur le soutien de la scénariste, autrice et comédienne Sarah-Maude Beauchesne, ambassadrice de la campagne, une femme ouverte et sensible, qui parle franchement et qui a la capacité et la volonté de contribuer à cette importante prise de conscience concernant la santé des femmes.»

Les Québécoises sont invitées à consulter le site web de la Fondation cancer du sein du Québec pour en apprendre plus sur les signes et symptômes du cancer du sein.



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Crédits:
Client : Fondation cancer du sein du Québec (Caroline Piché, Martine Côté, Caroline Bergeron)
Médias sociaux et Web : Fondation cancer du sein du Québec (Solène LeBourhis, Isabel Simard)
Infographie : Fondation cancer du sein du Québec (Caroline Méthot)
Agence publicitaire : Upperkut
Relations publiques : Canidé
Numérique : Seiya (Dan Posalski)
Photo/Vidéo : Shoot Studio (Martin Girard)