Le Fonds des médias du Canada identifie des transformations qui ont bouleversé l’industrie des écrans en 2020 et les tendances qui marqueront le paysage audiovisuel en 2021. 

La pandémie a certainement influencé la manière dont nous consommons les contenus et transformé les activités de tout l’écosystème de distribution, production et création. Mais le rapport va plus loin, en observant comment l’industrie, qui contribue 12.8 G $ au PIB, intègre astucieusement des nouvelles technologies, répond progressivement aux impératifs de la crise environnementale et s'engage à placer l’inclusion au centre de ses priorités.

Le Rapport sur les tendances FMC est très attendu par les observateurs aguerris de l’industrie des écrans. Structuré en 4 sections, il présente les tendances à surveiller en 2021 qui devraient avoir un impact tant sur nos habitudes de consommation que pour les activités des producteurs, distributeurs et créateurs de contenus au pays.

«Quelles-sont les grandes transformations que nous avons observées en lien avec la COVID-19? Lesquelles seront permanentes ? Grâce à des données et des études de cas à travers le pays, le rapport illustre comment nous pouvons travailler ensemble afin que l’industrie des écrans canadienne tire son épingle du jeu dans un contexte mondial de profonde perturbation, transition et innovation», souligne Kelly Wilhelm, chef de la Stratégie au FMC.

«2020 a été une année de bouleversements et l’industrie des écrans doit prendre acte de tout ce qui a émergé. Captifs au foyer, nous nous sommes massivement appropriés les contenus numériques. La bataille entre les plateformes de diffusion s’est intensifiée et les stratégies pour mieux positionner les contenus canadiens se sont sophistiquées», souligne Catherine Mathys, directrice, veille stratégique au FMC. «L’industrie audiovisuelle s’est numérisée à vitesse grand V en intégrant les nouvelles technologies disponibles, notamment pour assurer la sécurité sur les lieux de production, tout en cherchant à diminuer son empreinte carbone considérable. L’industrie semble aussi enfin entendre le cri du cœur des communautés sous-représentées alors que les publics veulent plus que jamais des contenus qui leurs ressemblent sur nos écrans.»

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