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Florence Girod, chef de la culture et du produit intégré chez Cossette

 

Expression utilisée fréquemment : « Oh la vache ! ». C’est une expression que j’utilise quand je veux dédramatiser ma réaction à un moment stressant.

Film favori : The Royal Tenenbaums

Occupation préférée : Marcher

Fun fact : J’habite dans un appartement où a logé René Lévesque. Télétravail oblige, je suis installée là où il avait son bureau. Mais, plus aucune trace de fumée de cigarette…

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Notre culture, c’est un assemblage d’humanité, de mécanismes de collaboration, d’entraide et d’envie de se dépasser. C’est un goût pour la transformation, celle de nos clients, mais aussi la nôtre.

Les changements dans notre industrie ont fait évoluer Cossette au fil de son histoire. Il a fallu être plus numérique, plus rapide, plus collaboratif, plus agile, plus transparent, plus ouvert, plus responsable. Cette exigence de renouvellement perpétuel a fait de nous une agence résiliente. Même si le mot est galvaudé, et que cela ne s’est pas fait sans difficulté.

Par la création d’un rôle de chef de la culture, nous voulons nous assurer de garder les ingrédients de notre culture en vie. Nous reconnaissons aussi qu’il faut y consacrer du temps, et que, si la culture se vit à travers les individus, il est essentiel de mettre en place les programmes et les outils nécessaires pour qu’elle se diffuse dans toutes les dimensions de l’agence.

Cette année, nous avons amorcé une importante réflexion au sujet du futur du travail. Nous nous interrogeons sur tout : nos modes de collaboration, la circulation de l’information, le partage des idées, l’utilisation de nos espaces, notre rapport au temps.

Nous réfléchissons aussi à comment les mouvements de la société doivent influencer notre culture et j’aimerais faire avancer au plus vite la question de la diversité et de l’inclusion. Au sein de l’agence, car nous devons admettre que notre industrie fait encore piètre figure en matière de diversité, et dans notre produit, car nous avons la responsabilité de diffuser des contenus qui favorisent l’ouverture et combattent le racisme.

Plus que jamais nous avons besoin de donner du sens à notre métier. Même si les derniers mois ont été difficiles, ils ont révélé notre aspiration à jouer un rôle positif, que ce soit dans les communications Covid-19 ou à travers les initiatives dont nos clients avaient besoin pour traverser la crise. Ils ont révélé également que le tissu social d’une organisation est précieux.

Être chef de la culture, c’est s’assurer que Cossette continue à progresser en étant progressiste.