Charles Beaulieu, Directeur général, Glassroom
Dave Gourde, Président, Glassroom

Expression utilisée fréquemment :
Charles : Malade !
Dave : Fléchis les genoux !

Série favorite :
Charles : Dexter
Dave : The Last Kingdom, The Crown et maintenant Peaky Blinders. Si tu veux m’avoir, ça prend un volet historique qui se passe au Royaume-Uni.

Occupation préférée :
Charles :
Découvrir des endroits difficiles d’accès dans la nature.
Dave : J’adore enseigner le sport aux jeunes. Je suis directeur technique pour les 3 à 9 ans dans mon association de hockey mineur. Un petit truc, tout part des genoux bien fléchis !

Fun fact :
Charles : Durant mes études, je produisais des comédies musicales à Montréal.
Dave : J’ai déjà été douanier quand j’étais étudiant. J’en ai vu des vertes et des pas mûres. Surprenant ce que les gens peuvent raconter et risquer pour sauver 20 $.

Pour en finir avec la transparence élastique

Quand on a lancé Glassroom, on l’a fait dans une optique où on voulait s’éloigner de la relation client-agence typique et se rapprocher d’une relation de partenariat fondée sur la transparence sans compromis. Pour nous, l’aspect des coûts est davantage un début de conversation, car c’est le bout logique et facile. Mais dans notre industrie, la transparence demeure un concept plutôt élastique et si on ne pose pas les bonnes questions à son agence média on peut se retrouver avec de mauvaises surprises. Dans notre cas, le concept de transparence se vit en tout temps dans les processus, dans la prise de décision et dans la responsabilisation sous la forme d’une seule et unique équipe. Pour y arriver, nous demandons à ce que les livres soient ouverts de part et d’autre. Ça demande aussi un accès sans filtre aux résultats de campagne en temps réel, dans la mesure où cet accès est centralisé dans un tableau de bord automatisé et accessible en tout temps par chacun des intervenants.

Les clients avec lesquels notre approche de transparence absolue génère les meilleurs résultats d’affaires sont ceux qui foncent dans le processus tête première en nous fournissant l’accès à des données souvent sensibles, mais qui nous permettent d’avoir un impact sur les résultats d’affaires. Pour y arriver, il faut gagner la confiance des intervenants qui ne viennent pas toujours du milieu du marketing et des communications. C’est particulièrement à cette étape du processus que Glassroom prend tout son sens.

Au cours de la dernière année, nous avons pris la décision de combiner les services de stratégie et d’achats média à ceux des solutions de performance en matière d’accompagnement en transformation numérique et en gestion de données pour la simple et bonne raison qu’un raisonnement média numérique passait inévitablement par un rapprochement des disciplines média et d’analytique.

On peut voir Glassroom comme une agence média. Pour être honnête, on se voit davantage comme une agence située à la jonction de l’accompagnement stratégique média et de la consultation numérique. Contrairement aux agences média de grande taille, on voit davantage notre valeur ajoutée dans l’amélioration des capacités média internes de nos clients. Contrairement aux boîtes de consultation purement numériques, on a la chance de travailler de concert avec des équipes de création pleinement intégrées au processus stratégique et d’optimisation. L’avantage de Glassroom via le collectif Humanise c’est de pouvoir s’adapter rapidement aux besoins du marché sans devoir passer par Toronto, New York, Londres, Shanghai ou Tokyo.