Croyant en une gestion proactive de l’empreinte environnementale de ses activités, l’agence de communication intégrée Capital-Image estime qu’il est possible, dans l’industrie des communications, de faire ainsi une différence. C’est pourquoi l’agence de relations publiques a annulé son empreinte carbone depuis plus de 10 ans.

« Face à ce grand défi de société, toute l’équipe y va d’efforts personnels et concertés afin de permettre à Capital-Image de maintenir son statut carboneutre », se félicite Yvon Desautels, président et fondateur de l’agence qui célébrera ses 30 ans d’existence en octobre prochain.

L’empreinte carbone est calculée à partir de plusieurs facteurs, tels que le moyen de transport d’un employé pour se rendre au travail — automobile, transport en commun, vélo ou marche. Chaque geste compte, petit ou grand, allant de la simple élimination de gobelets en plastique pour utiliser des verres et tasses lavables, en passant par la sélection d’équipement informatique EnergyStar, la diminution du nombre d’impressions couleurs ou l’impression recto-verso, ainsi que l’utilisation du télétravail.

Le processus d’évaluation des GES de Capital-Image est effectué par des organismes indépendants et accrédités en cette matière. Depuis l’implantation de cette initiative, les tonnes de CO2 générées par les activités de l’agence sont compensées par l’achat de crédits de carbone auprès d’organismes comme Conservation de la Nature Canada revendeur de crédits carbone provenant notamment de projets de reboisement en zones urbaines et semi-urbaines. Ceci permet à Capital-Image de maintenir un statut carboneutre, tout en appuyant des projets locaux.

capital

Silvie Letendre, vice-présidente principale. En prévision du Jour de la Terre, Capital-Image a demandé à ses employés d’apporter toutes leurs vieilles piles au bureau. Elle a ainsi déposé, au nom de l’agence, plus de 200 piles usagées à la Ville de Kirkland.