Benoit Chapellier
Vice-président, lead affaires chez Cossette

Expression utilisée fréquemment : « Magique ». Ça se place dans toutes les situations, même dans celles qui sont loin de l’être.
Films favoris : La 1re heure de The Limey, le milieu d’Apocalypse Now et la fin de Notting Hill.
Occupation préférée : Tout ce qui concerne la famille sauf faire le taxi pour eux.
Fun fact : Dans ma jeune vingtaine, j’ai nettoyé des blocs opératoires après bien sûr des opérations. J’ai vu des choses extraordinaires, dans tous les sens du terme.

Un (re)nouveau professionnel

J’aime que mon arrivée chez Cossette soit sous le signe du retour. J’y reviens effectivement. Comme j’ai toujours conjugué le service-conseil et la stratégie avec la créativité, et que le modèle d’affaire de l’agence s’est réinventé sur cette prémisse, mon retour était dans un sens logique. Les discussions ont ainsi repris comme si elles ne s’étaient jamais vraiment terminées. Et je profite aujourd’hui d’un statut de nouveau/ancien qui n’est pas désagréable, ça me permet de jouer sur les deux tableaux.

Ainsi, depuis 15 ans tout a changé chez Cossette : le propriétaire, les pratiques, la philosophie. On vit et on profite d’une meilleure intégration des métiers, les bureaux nationaux sont synchronisés. Il faut du culot pour avoir opéré une mutation organisationnelle aussi majeure, mais tout cela profite à la qualité des projets.

Pourtant, l’agence reste cette même place au sein de laquelle tout est possible. Cossette est d’ailleurs en forme comme rarement : du talent à la hauteur de ses sept étages, de nombreux clients à accompagner dans leur croissance, de nouvelles marques à accueillir, les sujets ne manquent pas. L’agence valorise aussi beaucoup l’entrepreneuriat, ce qui est fondamental après avoir monté ma propre boîte.

Mon portefeuille de compte rassemble la BDC, Énergir et La Presse, mais je serai appelé à intervenir sur des initiatives de développement des affaires ou des sujets transversaux, comme l’image et la transformation de marque.

En parallèle, je continue l’enseignement à HEC et à l’Université de Sherbrooke pour la session d’hiver. J’ai toujours aimé être proche de la relève et partager les fondamentaux de ce métier. On mélange allègrement de bonnes vieilles pratiques et les métiers de l’ère numérique, c’est ça le cocktail d’aujourd’hui.

Retourner à Paris ? Ce retour-là n’est en revanche pas envisageable !