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L’union (fort attendue) des entreprises Fleishman Hillard et High Road s’officialisait le 1er janvier dernier alors qu’elles fusionnaient leurs différentes expertises en communication sous la bannière FHR. Discussion sur la complémentarité entre entreprises avec Nathalie Bergeron, vice-présidente de la branche montréalaise.  

FHR : NOUVELLE MARQUE, LONGUE HISTOIRE

Les Jeux Olympiques battent leur plein sur le téléviseur du bureau de Nathalie Bergeron au moment où l’entretien débute : une partie de hockey féminin entre le Canada et la Finlande qui ne manque pas d’attirer le regard des collègues qui déambulent chez FHR. « Quand on travaille en communication, il faut qu’on soit à l’affût de tout !, rigole Nathalie. Notre spectre d’intérêt est très large ! » En effet, si l’étendue des champs d’expertise de High Road était déjà vaste avant même son union avec Fleishman Hillard, elle n’en est certainement que plus impressionnante depuis que les deux boîtes opèrent désormais ensemble sous l’acronyme FHR. « Notre offre de service reste sensiblement la même (image de marque, gestion de réputation, gestion de crise, etc.), ajoute Nathalie, mais elle s’opérera dans des perspectives de déploiement autrement plus grandes. C’est très excitant ce qui se produit dans notre bureau de Montréal en ce moment, l’avenir est très reluisant. »

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Nathalie Bergeron, vice-présidente

COMME UN MARIAGE

Chose sûre, on ne parle pas ici d’un mariage arrangé dans l’entourage de FHR. « Oh que non !, s’exclame Nathalie. On parle plutôt de deux entités qui se courtisaient depuis un long moment et qui ont enfin décidé de s’unir. Et j’aime beaucoup le terme mariage, simplement parce que c’est celui que nous empruntons à l’interne pour nommer la chose. FH et HR ont toujours été des boîtes parfaitement complémentaires, leur union tombait sous le sens pour tout le monde. » Complémentaires ? « Nous le sommes sur tout, ou presque, opine-t-elle. Depuis sa création, on se plait à dire que FHR est une nouvelle boîte de type «mini-wheats», car si Fleishman Hillard représente le côté nature de l’entreprise, l’addition de High Road vient ajouter le côté plus givré. Nous avions prouvé par le passé que HR n’avait jamais eu peur de sortir des sentiers battus (rappelons-nous cette idée folle de jouer au hockey à la verticale sur un panneau publicitaire !). FH, quant à elle, avait une fabuleuse expertise en communication qui, par son excellence, comptait sur un rayonnement tentaculaire partout à l’international. Nous ne pouvions que tirer profit d’un tel mariage. »

DE NOUVELLES AILES

Et les répercussions ? « Elles viendront sous peu à Montréal, prévient Nathalie, et elles seront très positives. Contrairement au bureau de Toronto, rien n’a encore changé ici : nous comptons exactement sur le même groupe d’employés, bien que ceux-ci soient aujourd’hui appelés à travailler sur de nouveaux dossiers. Nous avions déjà l’expertise pour nous atteler aux dossiers de Fleishman Hillard, il n’y a donc pas de bouleversement de ce côté. Cela étant dit, nous grossirons au cours des prochains mois, des prochaines années. Une vague de promotions sera éventuellement annoncée. Nous travaillerons sur de plus en plus de mandats, des mandats qui, eux, seront de plus en plus diversifiés. Avec le réseau international de FH, nous jouissons d’une paire d’ailes additionnelles qui nous permet de toucher à des comptes auxquels nous n’aurions jamais eu accès. C’est stimulant pour tout le monde, il n’y a pas deux journées qui se ressemblent au bureau. »

CHEMINS NON TRADITIONNELS

Et ce qui définirait l’ADN de FHR selon Nathalie Bergeron ? « Nous agissons en véritable défenseurs de la marque, dit-elle. Notre spectre d’actions est grand : nous nous assurons de faire reluire des marques en racontant de belles histoires tout en veillant à ce que leur réputation demeure solide à long terme. Il y a aussi des aspects plus sportifs à certains de nos mandats, surtout lorsque nous entrons en gestion de crise (il y a toujours quelque chose de fascinant là-dedans, surtout quand on sait que les meilleures gestions de crise sont celles dont on n’entend jamais parler !) ; ce qui est toutefois sûr, c’est qu’on se plaît à emprunter des chemins non traditionnels pour arriver à nos fins. C’était comme ça à l’époque de High Road (que nous aurions aussi pu baptiser Off Road à certains moments !) et ce le sera encore pour l’avenir. On souhaite faire autrement, on souhaite toujours faire mieux, toujours de manière créative. Je dirais que ça nous représente bien.

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