Inspirée par le 150e anniversaire du Canada, la marque de miel Billy Bee souligne cinq points communs entre ses habitants et les abeilles et cherche la ville la plus « délicieusement douce » au Canada. Billy Bee a ainsi lancé une campagne célébrant ce en quoi les abeilles à miel s’apparentent aux Canadiens.

Quels sont les villes et villages qui illustrent ce qui rend les Canadiens similaires aux abeilles dans leurs comportements ? Pensons à Montréal, Saulnierville en Acadie, Markham en Ontario, Victoria en C.-B., et Regina en Saskatchewan.

Paul Kelly, directeur de recherche et du rucher au centre de recherche sur les abeilles à miel de l’université Guelph, a comparé les abeilles à miel aux collectivités canadiennes : « Notre étude des abeilles au Canada nous a beaucoup appris sur les comportements sociaux qui leur permettent de bâtir des ruches ici. Ces qualités de collaboration, d’accueil, de partage, d’ardeur au travail et de ténacité sont aussi celles qui ont permis à notre pays d’être ce qu’il est devenu. »

L’analyse tient compte de données de Statistique Canada sur le bénévolat, les dons de charité, la démographie, les taux d’emploi et même la météo. Ces chiffres, juxtaposés aux résultats d’une grande compilation de nouvelles nationales et régionales, ainsi que de récompenses civiles de marque, ont permis de déterminer à quelles municipalités canadiennes les abeilles s’apparentent le plus !

Voici ce que Billy Bee a découvert :

– Tout comme les abeilles qui collaborent à améliorer l’évolution de la ruche, les résidents de Regina, en Saskatchewan, affichent l’un des plus hauts taux de bénévolat, et collaborent à l’amélioration de leur ville.
– Les abeilles sont accueillantes avec celles provenant d’autres ruches, comme la ville de Markham, en Ontario, dont l’essor se fait grâce à ses citoyens de cultures internationales, qui forment plus de 70 % de sa population.
– Les abeilles communiquent et partagent de l’information en exécutant une « danse frétillante », tout comme les membres de la troupe folklorique Baie en Joie, à Saulnierville en Nouvelle-Écosse, qui partagent leurs précieuses traditions acadiennes par la danse.
– Les abeilles à miel peuvent travailler pendant neuf mois sans arrêt. C’est ce qu’on appelle de l’ardeur au travail. On peut dire la même chose des gens de Victoria en Colombie-Britannique, la ville ayant le taux de chômage le plus bas au Canada.
– Pour survivre aux rudes hivers canadiens, les abeilles doivent faire preuve de force et de ténacité. Pour y arriver, elles se regroupent et se régalent de miel. À Montréal aussi, les gens doivent se serrer les coudes, car la métropole reçoit les chutes de neige parmi les plus élevées au pays.

Le dévoilement de la ville la plus « délicieusement douce » se fera en septembre prochain, lors du Mois national du miel. La ville gagnante recevra un don de 10 000 $ afin de soutenir des initiatives visant à permettre la croissance de la population d’abeilles au Canada. Ce geste s’inscrit dans l’engagement que Billy Bee a pris envers les apiculteurs canadiens, qui sont l’une des grandes raisons pour lesquelles l’entreprise a décidé d’utiliser du miel 100 % canadien seulement.