Les envois de presse destinés aux médias et influenceurs ont beaucoup évolué dans les dernières années, passant de la simple enveloppe brune à l’envoi toujours un peu plus créatif et expérientiel ! Avec l’arrivée en force des « stories » Instagram, les journalistes et les influenceurs ont pris l’habitude de présenter les « unboxing » en direct avec leur communauté ! Une chance pour nous, relationnistes, qui avons trouvé une manière d’obtenir des mentions des marques que nous représentons ! Plus que jamais, l’environnement est au centre de nos actions au quotidien et c’est pourquoi on a revu nos façons de travailler pour continuer de créer du contenu pertinent, mais surtout, durable !

Créer du contenu à la fois créatif et écologique !

1. La validation de l’intérêt

L’étape de validation de l’intérêt du média à recevoir le produit de la marque devient indispensable. Il faut compter beaucoup plus de temps pour valider, mais au final, on y gagne beaucoup. Les médias sont heureux de nous dire si oui ou non ils ont envie de recevoir le colis. Du point de vue environnement, on évite d’envoyer des produits qui vont se retrouver dans une armoire ! Vous serez surpris de savoir le nombre de produits inutilisés par manque d’intérêt ou tout simplement parce que les médias en ont déjà un grand nombre à la maison ou au bureau.

Même si cette étape pourrait en décourager plusieurs, on va de toute évidence réduire le nombre d’envois comme ce n’est jamais tout le monde qui désire recevoir les paquets. Un plus pour les clients ! Il faut le voir comme un avantage comme ceux qui confirment vouloir recevoir le paquet sont généralement très intéressés ! Il y a souvent même une attente et une excitation quand vient le temps de recevoir le paquet, ce qui crée du contenu beaucoup plus engageant. Dans la grande majorité des cas, le taux de résultats est grandement supérieur, comme personne ne reçoit un paquet qu’il ne désire pas.

2. L’emballage

La question de l’emballage est tellement importante et difficile à réduire comme les paquets partent par la poste ou par messager et qu’ils risquent d’être endommagés. Par contre, il y a quelques petites techniques pour améliorer le côté « écolo » :

  • Est-ce possible d’opter pour un emballage réutilisable ou recyclable ?
  • Retirer le papier inutile
  • En profiter pour envoyer le communiqué de presse ou le dossier de presse électroniquement.

3. Oser penser différemment

Pour ce qui est de la créativité, est-ce que l’envoi de presse est toujours le meilleur moyen de communiquer une nouvelle ? Le média n’est pas toujours obligé de
« tester », il faut toujours évaluer la pertinente de faire des envois, se demander si c’est le meilleur moyen d’obtenir de la visibilité. Si on arrive à faire vivre l’expérience autrement, il arrive que le résultat soit le même. On pense, par exemple à la création de contenu vidéo ou à une démonstration lors d’un événement.

On ne changera pas le monde, mais on se dit que ces petits gestes à privilégier et à considérer lors de la réflexion des envois de presse feront des petits ! En tous cas chez nous, c’est toujours une préoccupation !