La semaine dernière, le Grenier aux nouvelles a publié un article traitant du départ de Frédéric Proulx au sein de DIG. Aujourd’hui, Claude Léger, fondateur de l'agence, rétorque dans une lettre ouverte afin de livrer sa version des faits.

«Robert Otis et moi-même sommes des personnes de nature discrète et n’avons jamais cherché à nous retrouver sous les projecteurs. Cependant, nous ne pouvons laisser Monsieur Proulx relater l’histoire de DIG et répandre des affirmations mensongères.

Les raisons de notre décision de ne plus collaborer avec monsieur Proulx sont trop nombreuses pour être énumérées ici, et ne font pas l’objet d’une diffusion publique. Le seul élément qui importe à ce moment-ci et à retenir, est que Robert et moi, nous nous sommes dissociés de ce partenariat avec Monsieur Proulx puisqu’il n’a pas rempli sa mission au sein de l’entreprise.

Malgré toutes nos années en affaires, tous nos succès et toutes ces compagnies que nous avons mises sur pied, avec plus d’une douzaine de partenaires différents, nous avons tout de même commis un faux pas en choisissant de nous associer avec Monsieur Proulx. Récemment, nous avons choisi de corriger cette situation et nous poursuivons nos activités comme nous l’avons toujours fait, Robert et moi. Rien de plus.

DIG (anciennement OSL/OLm) existe depuis plus de 25 ans: notre entreprise se trouve en bien meilleure santé aujourd'hui, suite à cette décision. DIG a effectivement connu une récente croissance en raison de plusieurs gains, et continuera à progresser, à prospérer et à bien servir ses clients, comme elle l'a toujours fait.» - Claude Léger