Le 19 mars dernier, la Fondation Mobilys a lancé sur les réseaux sociaux le défi Je me paye ta tête afin de promouvoir l'obtention du diplôme d'études secondaires au Québec.
Louis-Yves Cloutier et Daniel Martin, fondateurs et co-présidents de Consultant Auto 360 et Solutions Médias 360, ont dévoilé les photos de finissants de Alexandre Bilodeau, Anais Favron, Billy Tellier, Claudine Prévost, David LaHaye, Étienne Boulay, Evelyne Audet, François Morency et plusieurs autres pour cette campagne originale qui prendra fin le 15 juin prochain, au même moment que la période des bals de finissants.
«C'est au secondaire que j'ai découvert quelques-unes de mes passions et que j'ai développé plusieurs de mes talents. Ces années d'étude m'ont marqué et m'ont permis de devenir qui je suis aujourd'hui. J'encourage tous les jeunes du Québec à poursuivre leurs études jusqu'à l'obtention de leur diplôme du secondaire», explique le comédien, David LaHaye.
Le défi Je me paye ta tête permet de partager les premiers amours, les nombreuses amitiés et tous les moments marquants d'une jeunesse qui sont, pour la plupart, vécus en milieu scolaire. Pourtant, c'est plus de 21 000 jeunes de 20 ans sans diplôme secondaire à chaque année au Québec.
«Nous avons besoin de jeunes diplômés pour maintenir notre qualité de vie au Québec, l'une des meilleures au monde. Les jeunes dont la persévérance scolaire est fragile ont tous besoin de vivre des succès avec des projets scolaires stimulants. Cette campagne financera donc les projets motivants que des professeurs engagés et inspirants développent à chaque année», souligne Nicolas P. Arsenault, président et co-fondateur de la Fondation Mobilys.
L'équipe de Mobilys remercie chaleureusement Louis-Yves Cloutier et Daniel Martin pour leur don de 14 500$ au profit de la Fondation Mobilys pour dévoiler les photos de leurs personnalités préférées. «Nous sommes privilégiés d'avoir été encouragés par nos parents à poursuivre nos études. Ceux-ci nous ont inculqué des valeurs favorisant la persévérance scolaire dès notre jeune âge. Nous souhaitons redonner aux jeunes du Québec qui n'ont pas eu cette chance et qui doivent se battre tous les jours pour s'accrocher à l'espoir de réussir. Ils ont besoin de nous tous!», conclue M. Cloutier.