Le bureau montréalais de la firme de communications internationale Edelman a décidé de suivre le cours de la Docteure Anita Nowak, de l’école de gestion Desautels de l’Université McGill, sur le bonheur, et plus précisément sur l’empathie délibérée. 

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Domaine d’étude qui cherche à comprendre et à promouvoir l’épanouissement, le bien-être et le bonheur de l’être humain, la psychologie positive rappelle ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue, et bien.

Sur le lieu de travail, les principes de la psychologie positive éclairent les pratiques de leadership et de la culture organisationnelle qui, selon la recherche et son application, mènent à des environnements de travail plus heureux et plus productifs. C’est précisément cet aspect qui a mené Martine St-Victor, directrice générale d’Edelman à Montréal, à inscrire toute son équipe au cours de la Dre Novak. 

C’est ainsi que plus de 25 employé·es d’Edelman ont reçu les outils nécessaires pour enrichir leur vie à la maison et au bureau.

« Plusieurs des outils présentés dans le cours se résument à des prises de conscience. Tout le monde vit, mais la question est comment ? Peut-on faire mieux ? Et, avec le nombre d’heures que nous consacrons au travail, il me paraissait essentiel d’avoir l’accompagnement de la science et de la recherche sur le sujet du bien-être et du bonheur pour nous aider à justement faire mieux », dit Martine St-Victor, directrice générale d’Edelman Montréal.

Après Montréal, Anita Novak s’apprête à offrir le cours à d’autres bureaux d’Edelman, comme elle l’a fait pour d’autres entreprises. Elle n’est pas surprise de voir l’engouement. Les petits changements proposés et exercices pratiqués pendant le cours font une différence et ce, pour tous les niveaux d’employé·es et de dirigeant·es.

« Certaines des qualités requises pour diriger sont plus importantes qu’avant. Le leadership empathique, par exemple et pour moi, est absolument essentiel pour naviguer les défis d’aujourd’hui, qui incluent des employé·es qui ont des attentes de plus en plus précises. Et notre Baromètre de confiance nous a encore prouvé, cette année, que les employé·es et les consommateur·rices font plus confiance à leur dirigeant·e qu’à leurs élu·es. Tout cela vient avec des responsabilités additionnelles », conclut Martine St-Victor, directrice générale d’Edelman Montréal.

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