Une étude récente menée par Léger pour Heylist révèle que, bien que 92% des Canadien·nes ne se considèrent pas comme des influenceur·euses, 74% admettent avoir acheté un produit après des recommandations sur les réseaux sociaux de la part de leurs ami·es, famille ou connaissances. Ces interactions en ligne influencent les décisions d'achat et transforment chaque individu en influenceur·euse potentiel, souvent sans en être conscient.

«Il n'est pas surprenant que 27% des Canadien·es pensent qu'être un·e influenceur·euse nécessite une grande audience. Chez Heylist, nous voulons déboulonner ce mythe et permettre à un maximum de personnes de bénéficier de l'économie florissante de la création de contenu. En mettant en lumière le pouvoir d'influence des petits créateurs, nous contribuons activement à démocratiser cette industrie», explique Vicky Boudreau, PDG et co-fondatrice de Heylist.

Les nano-influenceur·euses, ces créateur·rices ayant moins de 10 000 abonné·es, se distinguent par leur authenticité et leur lien direct avec leur communauté. Pour les marques, c'est une opportunité de se connecter de manière authentique avec leurs client·es à travers des voix sincères. Cette tendance est d'autant plus marquée que 46% des Canadien·nes, dont 67% des 18-34 ans, souhaitent collaborer avec leurs marques favorites.
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