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Selon le Baromètre de l’action climatique 2023, 85% des Québécois·es pensent qu’il y a urgence à agir face aux changements climatiques, mais seulement 15% disent en faire beaucoup.

Pour changer cet état de fait, les spécialistes en communication ont un rôle clé à jouer. Mais comment s’y prendre pour engager davantage les individus et les organisations dans l’action? Forte de son expertise dans le domaine de la communication environnementale, Futur Simple lance son guide pratique Parler d’environnement sans se mettre les pieds dans les plats. 46 pages qui aideront les acteurs et actrices du milieu de la communication à contribuer encore plus activement à l'action climatique et à la protection de l’environnement.

«La communication environnementale est un champ d’expertise en soi. Elle demande certains ingrédients clés sans lesquels les communicateurs·trices risquent d’échouer à susciter une transformation des comportements, ou pourraient même provoquer de la résistance» mentionne Marie-Eve Arseneault, conseillère stratégique chez Futur Simple.

Des recettes simples et éprouvées
Dans Parler d’environnement sans se mettre les pieds dans les plats, Futur Simple explique notamment comment parler d’environnement en tenant compte de la fatigue climatique présente chez environ un tiers des Québécois·es1. Ils offrent un ensemble de conseils pratiques issus de sept années de recherche sociale appliquée et d’expérimentation. Rédigé de façon concise et décomplexée, ce guide couvre plusieurs éléments essentiels comme le ciblage, la manière d’aborder nos messages, l’approche créative et le langage, les pièges à éviter, le choix des porte-paroles, l’évaluation, etc. Mais aussi comment parler de climat... sans en parler directement!

Une approche centrée sur le facteur humain
Ce guide aborde la communication environnementale à travers le prisme du facteur humain, spécificité de l’approche de Futur Simple, qu’ils définissent comme la dimension psychologique et émotionnelle derrière le changement de comportement. Impliquant des notions comme les croyances, les biais cognitifs, la motivation, les besoins fondamentaux, la norme sociale ou le deuil, ce facteur humain permet d’identifier des freins et leviers pour susciter une transformation des attitudes et des comportements.  

«Derrière chaque décision d’agir, il y a un humain, qu’il soit citoyen, élu, chef d’entreprise ou travailleur, précise Clémence Lalloz, co-fondatrice et à la direction générale de Futur Simple. Voilà pourquoi le facteur humain est aussi central dans notre travail. C’est une dimension essentielle pour accélérer le passage à l’action.»

Un guide pour tous les communicateurs·trices
Ce guide est destiné autant aux organisations qui communiquent directement sur l’environnement (économie sociale, environnementales, entreprises, municipalités, gouvernements, etc.) qu’aux agences de communication marketing qui les accompagnent dans leurs projets.

Cliquez ici pour accéder au guide.
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Vous désirez en apprendre plus?

Futur Simple organise un webinaire le 27 novembre de 12h00 à 13h00. Inscrivez-vous ici pour participer!

[1] Champagne St-Arnaud, V., Crépeau, J. et Daignault, P. (2023). Baromètre de l’action climatique : Disposition des Québécoises et des Québécois envers les défis climatiques. Groupe de recherche sur la communication marketing climatique, Université Laval. https://unpointcinq.ca/wp-content/uploads/2023/11/Barometre-Action-Climatique-2023.pdf