À l'occasion du mois de sensibilisation à la maladie de Lyme, l'Association québécoise de la maladie de Lyme (AQML) lance sa première campagne de sensibilisation à l'échelle provinciale, conçue en collaboration avec Acolyte. L'objectif principal de cette campagne est de modifier les comportements des Québécois·es afin de mieux se prémunir contre la maladie de Lyme, dont les cas augmentent dans la province. Étant donné la gravité de cette maladie pour la santé de chacun·e, l'AQML encourage la population à changer ses habitudes lors de ses activités en plein air. La maladie de Lyme est évitable grâce à des gestes simples: protégez-vous, examinez-vous et informez-vous.

«Parce que la maladie n’est pas assez connue et que ses effets ne sont pas suffisamment pris au sérieux, nous croyons que cette campagne est un premier pas pour changer les habitudes durablement auprès de tous les gens qui sortent en plein air et qui pourraient être infectés par une tique, explique Caren Leblanc, directrice générale de l’Association québécoise de la maladie de Lyme. Au-delà de l’invitation à changer les habitudes de la population québécoise, notre ligne principale explique clairement que la maladie doit être prise au sérieux: elle peut être dramatique pour votre santé. Cette campagne a été réfléchie pour encapsuler tout le drame qui s’abat sur la vie des victimes et leurs proches lorsque la maladie n’est pas traitée à temps et que des symptômes plus graves apparaissent.»

Un ennemi qu’on ne voit pas… C’est l’horreur!
S’inspirant des codes d’affiches de films d’horreur, cette campagne met en scène un quotidien tout ce qui est plus normal en plein air, avec l’ennemi invisible qui guette tout le monde: la tique porteuse de la maladie de Lyme. Ces scènes de plein air sont prises du point de vue de la tique, cet ennemi omniprésent sur toutes les déclinaisons tant dans le visuel que le rédactionnel.

«La tique est partout, mais presque impossible à voir si on ne la cherche pas. On lui porte attention seulement lorsque l’on est conscientisé ou, bien malheureusement, lorsqu’il est trop tard. Dramatique, critique, problématique, touristique… Tous ces mots et plusieurs autres ont une chose en commun: la tique est présente, mais on ne la voit que si on lui porte attention. C’est de là que part notre concept simple qui espère conscientiser les Québécois·es aux dangers de l’invisibilité de la tique infectée», explique Christina Boucher, directrice, marque et rédaction chez Acolyte.

Appuyée de lignes éducatrices claires, la campagne de sensibilisation informe les Québécois·es sur les conséquences dramatiques pour la santé, et sur les actions à prévoir pour se protéger de cet ennemi en forte croissance dans la province.

Les régions de l’Estrie, de la Mauricie, du Centre-du-Québec, de l’Outaouais et de la Montérégie sont les plus touchées par les tiques infectées. Ces régions touristiques fortement prisées par le tourisme intraprovincial seront priorisées dans la stratégie de déploiement.

Imaginée en deux phases, la campagne sera déployée en ligne, en magazine et à la radio cet été et à l’automne, alors que les températures sont encore favorables aux sorties en plein air, mais que les gens croient que la tique n’est plus active. En attendant, une phase de relations de presse est en cours dans le cadre du mois de la sensibilisation, et ce, dans toutes les régions considérée à risque ainsi que dans les médias nationaux.

Crédits:
Client: Association québécoise de la maladie de Lyme
Caren Leblanc, Carl Dubois
Service-conseil: Emmanuelle Clément
Stratégie: Christina Boucher
Création: Vincent Bergeron, Sébastien Roy, Myriam Roy
Média et numérique: Marie-Karelle Croteau, Guillaume Huard
Relations de presse: Christina Boucher