dada poursuit sa collaboration avec les cliniques Fertilys en lançant la première campagne de sensibilisation jamais réalisée sur la congélation des ovules au Québec. Après une campagne sociétale qui a généré de nombreuses conversations afin de «Reconnaître l’infertilité», Fertilys souhaite maintenant éclairer les femmes sur la possibilité de préserver leur fertilité par le biais de la congélation des ovules, afin qu’elles puissent choisir le moment où elles seront prêtes à avoir des enfants (ou non!). Lancée il y a quelques jours, la nouvelle campagne «Préservation de la fertilité» se déploie jusqu’à la fin du mois de mars. Elle comprend de l’affichage, des médias sociaux et de la programmatique. En plus des formats publicitaires réalisés avec la participation de Caravane, dada a développé en collaboration avec Fertilys un site web où l’ensemble des informations est présenté sous forme de question-réponse, à l’image d’une discussion que l’on pourrait avoir avec un ou une amie.

La congélation des ovules est un sujet complexe qui mérite d’être démystifié. Malgré sa pertinence dans le domaine de la santé reproductive, il demeure tabou et peu abordé dans les conversations courantes. Pourtant, il s’agit d’une option bien viable pour de nombreuses femmes qui envisagent de préserver leur fertilité. Il est essentiel de briser le silence entourant ce sujet afin de permettre une compréhension plus approfondie et une prise de décision éclairée. En éduquant le public sur les avantages, les limites et les possibilités de la congélation des ovules, on peut contribuer à offrir aux femmes une plus grande autonomie dans la planification de leur avenir reproductif.

«La préservation de la fertilité est un enjeu crucial aujourd’hui, déclare Andréanne Isabelle Poitras, vice-présidente stratégie et création, associée chez dada. Avec l’évolution des modes de vie, l’augmentation des taux d’infertilité et les avancées médicales, de nombreuses femmes se demandent si elles devraient ou non congeler leurs ovules. Ce que nous désirons, c’est que ces femmes, entre la mi-vingtaine et la fin trentaine, soient éclairées dans leurs questionnements et qu’elles ressentent qu’elles sont écoutées, épaulées et comprises.»