SYRUS accueille trois nouveaux talents au sein de l’équipe: Benjamin Bouchard est nommé chargé de projets, Frédérique Little se joint à titre d’adjointe à la direction et Nabila Hadjeres fait son entrée comme stagiaire. L’ajout de ces recrues renforce la capacité de SYRUS à accompagner ses clients dans l’atteinte de leurs objectifs d’affaires.
Benjamin Bouchard est nommé chargé de projets
Détenteur d’une maîtrise en administration, avec une concentration en communication marketing de l’Université de Sherbrooke, Benjamin rejoint SYRUS avec une expérience pratique en analyse de données de marché, en gestion de projet et en rédaction. Avant de se joindre au cabinet, il a eu l’occasion d’oeuvrer dans l’industrie du transport et le secteur des repas prêts à manger.
«Alors qu’il évolue chez nous depuis maintenant quelques mois, Benjamin a déjà su faire sa marque, tant au sein de l’équipe qu’auprès de nos clients, affirme Myriam Crevier, associée principale et directrice générale. Je me réjouis de pouvoir compter sur sa grande curiosité et sur la profondeur de ses analyses.»
Frédérique Little se joint à titre d’adjointe à la direction
Titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université d’Ottawa, Frédérique se spécialise en gestion de projets et en coordination d’activités de toutes sortes. Forte d’une expérience avérée en tant qu’assistante administrative et coordinatrice d’équipe, elle met au profit de SYRUS et de ses clients ses capacités d’organisation.
«Rigoureuse et perspicace, Frédérique est une alliée précieuse, quelle que soit la tâche qui lui est confiée», poursuit Myriam Crevier.
Nabila Hadjeres fait son entrée comme stagiaire
Étudiante en troisième année en communication à l'Université de Montréal, Nabila se joint à l'équipe de SYRUS avec le désir d’approfondir sa connaissance de l’écosystème d’affaires québécois et de parfaire ses habiletés en communication.
«Dès leur arrivée, nos stagiaires sont mis à contribution sur la résolution des enjeux d’affaires de nos clients. C’est toujours un plaisir de les voir grandir tout au long de leur passage chez nous», conclut Myriam Crevier.
