Desjardins déploie une édition spéciale des Fêtes de la série Table rase, conçue en collaboration avec Bleublancrouge, Glassroom et l’équipe de Radio-Canada Solutions Média. À l’animation des trois capsules, Chloée Deblois propose des trucs pour économiser durant cette période festive, oui, mais onéreuse (surtout en contexte d’inflation).

Lancées en novembre, les trois capsules de l’édition spéciale des Fêtes de Table rase, soutenues par une campagne d’affichage et une campagne numérique, s’ajoutent aux trois saisons vidéo et balado hébergées respectivement sur ICI TOU.TV et OHdio.

Miser sur les codes de la jeunesse
La série Table rase est née du désir de Desjardins de lancer une discussion sans tabou avec les jeunes de 18 à 30 ans. Pour ce faire, une brigade de quatre animateur·trices – Rosalie Bonenfant, Jessica Prudencio, Chloée Deblois et Karl Hardy – a été mise sur pied. Accompagnée de plusieurs invité·es, elle a abordé au fil des saisons de vraies questions d’argent, sans filtre ni jugement.

«On voulait alimenter une discussion authentique sur l’argent avec les jeunes en s’imprégnant totalement de leurs codes. Toutes les questions financières sont bonnes et méritent d’être approfondies», précise Geneviève de Montigny, cheffe d’équipe chez Desjardins.

Placer le contenu au coeur de tout
Depuis maintenant trois ans, la campagne annuelle fait le pari qu’en créant une pièce de contenu d’une grande valeur, on peut non seulement atteindre la cible des 18 à 30 ans, mais aussi tisser une relation sincère avec eux. En effet, la plateforme publicitaire a d’abord été conçue pour faire briller le contenu en redirigeant les jeunes vers la série vidéo ou balado, où Desjardins souhaitait donner toute la place à l’éducation financière et aux conversations.

«Grâce à cette offensive, nous avons pu rebrasser la dynamique d’une campagne publicitaire typique en plaçant une pièce de contenu maîtresse au centre de tout un écosystème. On a plongé tête première dans cette production et les gens ont répondu à l’appel», explique Caroline Morissette, superviseure principale chez Bleublancrouge.

Afin de s’adapter continuellement aux habitudes de la cible, la stratégie de découvrabilité de la série a évolué depuis son lancement. En raffinant son approche et en apprenant des résultats médias passés, Table rase propose du contenu de plus en plus pertinent et contextuel chaque année. Par exemple, les capsules vidéo de la saison 3 ont généré six fois plus de vues que celles de la saison précédente grâce à leur intégration à des environnements expressément choisis.

Un concept en évolution constante
Au fil de ses trois premières saisons, la série Table rase a évolué: les grands questionnements ont fait place aux discussions ouvertes, puis à l’introspection. Les animateur·trices ont eux·elles-mêmes cheminé et ont beaucoup appris sur leur propre relation avec l’argent.

«C’est vraiment stimulant pour notre équipe de revoir année après année comment on peut faire grandir un concept et faire progresser les intervenant·es impliqué·es. Table rase est un projet qui nous tient à coeur parce que c'est non seulement un travail de collaboration, un vrai, mais aussi parce qu'il aide les jeunes adultes en leur fournissant des réponses éclairantes et des outils concrets», souligne Samuel-Olivier Barrette, premier chef stratégie de contenu chez Radio-Canada Solutions Média.

Crédits: 
Client : Desjardins (Geneviève Roussel, Geneviève de Montigny, Keyssia Lehouillier, Dominique Chabot, Samuel Laroche, Jonathan Boivin, Coralie Beaudin Bolduc, Catherine Brousseau, Catherine Dussault Desmarais)
Agence : Bleublancrouge
Direction de création : Sarah-Catherine Lacroix
Conception-rédaction : Sarah Bastien, François Larouche
Direction artistique : Camille Aslanian
Stratégie : Audraine Houël, Jean Eude
Service-conseil : Krystelle Ruest, Caroline Morissette, Jade Pomerleau
Production : Carole Roy
Média : Glassroom (Thi My Lien Dang, Jonathan Paré, Marianne Courchesne)
Production Table rase : Radio-Canada Solutions Média, Toast Média
Réalisation de la saison 3 (vidéo et balado) : Maxime Vincent
Réalisation de l’édition des Fêtes : Émile Roy