«Passion, accomplissement, relation client, dépassement de soi, mais surtout du plaisir… C’est l’objectif numéro un chez Marelle Communications.» Fondée le 1er mai 2018 par Marilyne Levesque, l’agence de relations publiques et de gestion des médias sociaux, via sa branche Marelle Social n’a rien à envier à sa compétition. Aujourd’hui, Marilyne Levesque nous parle du retour à ses premiers amours et du chemin parcouru en cinq ans.
1-2-3: Des relations publiques à l’animation radio aux relations publiques
Ayant étudié en communication et en science politique, Marilyne Levesque, qui entretenait alors en début de carrière le rêve de devenir animatrice radio, retrace son parcours, le sourire aux lèvres : « À ma sortie de l’école, j’ai rapidement été immergée dans le monde des relations publiques où j’ai travaillé pour de grandes agences à Montréal. Je suis une fille assez ambitieuse et j’avais toujours en tête cette idée de me lancer en animation radio, chose que j’ai finalement faite. Mais après quatre ans d’animation en radio et télévision, principalement à la culture, j’ai eu l’opportunité de retourner en relations publiques. » De retour en agence, son penchant ambitieux continue de faire germer une autre graine. « J’avais l’idée derrière la tête de me lancer en affaires. J’ai finalement décidé de concrétiser mon rêve d'entrepreneuriat. » Avec l’aide d’un ami concepteur-rédacteur, elle s’est mise sur le projet. « On y a beaucoup réfléchi, et puis c’est tombé : Marelle. C’était le nom parfait pour mon entreprise : non seulement c’est facile à retenir, mais c’est aussi un jeu que tout le monde connaît, même à l’international. Cette idée de jeu rassembleur universel reflétait l’image d’une entreprise que j’allais bâtir. Sans oublier que c’est très similaire à la contraction de mon prénom et de mon nom de famille. » Et c’est ainsi que le 1er mai 2018, Marelle Communications voyait le jour.
4-5: Les deux pieds dans la pandémie, pas de panique
«De 2018 à 2020, tout allait bien, explique l'entrepreneure. J’étais sur une bonne lancée : mes contrats venaient tous de mon réseau de contacts. Environ 80 % d’entre eux étaient affiliés à la culture, au tourisme et à l’événementiel. » Mais mars 2020 est arrivé comme un coup de fouet pour la jeune entreprise qui se spécialisait dans ce que le virus aimait le plus : les événements et les contacts entre les gens. «C’est étrange, mais ça ne m’a pas fait paniquer, même si j’ai été forcée de ralentir mes activités. C’était l’occasion parfaite pour m’investir à fond dans la refonte de mon site, chose qui a été énormément bénéfique pour mon référencement et pour la croissance de Marelle.» Avec du recul, ce fut aussi une grande révélation pour elle. «La façon dont j’ai su gérer les imprévus liés à la pandémie m’a fait réaliser que c’est bel et bien en 2020 que je suis devenue une entrepreneure. J'avais très peu de fonds, car l'entreprise était encore jeune. Néanmoins, j'ai pris le peu que j'avais et je l'ai investi pour faire la refonte de mon site web, ce qui a généré de nouveaux clients. J'ai pris le risque d'investir le peu d'économie que j'avais dans mon entreprise, sans connaître l'avenir. Selon moi, le quotidien d’une entrepreneure vient avec le choix conscient de ne pas vivre dans le confort. Depuis toujours, je convoite le risque et je cherche constamment à me dépasser professionnellement. La pandémie m’a révélé que j’étais faite pour ça, gérer mon entreprise, et surtout que j’avais le gut pour le faire.»
6: Un pied de l’avant pour la nouveauté
«Depuis l’été 2020, Marelle ne cesse de croître. Quand j’y pense, je suis énormément reconnaissante de ma clientèle qui m’a fait confiance et qui m’a permise de me développer.» Et, les client·es ont été nombreux·ses à lui faire confiance: Oasis Immersion, le Salon du livre de Montréal, l’Igloofest, le Festival Juste pour rire MONTRÉAL, le Salon international Tourisme voyages, Sandalwood et Sofitel ne sont que quelques grands noms qui défilent dans la liste des partenariats avec Marelle, qui d’ailleurs était sur le point de se développer davantage. En février 2023, l’agence lance Marelle Social, une branche déjà spécialisée dans la gestion des médias sociaux et le marketing d’influence. «Marelle Social, c’est un statement en quelque sorte, parce que c’était déjà un service intégré qu’on offrait, mais qui devait être propulsé davantage. Notre objectif est de continuer à développer cette expertise tout en augmentant nos ressources qui y sont dédiées. Notre service est complet: on a une designer qui travaille avec nous et des agences partenaires associées à nous pour développer les achats publicitaires numériques et traditionnels de nos client·es. Marelle Social a pour ambition de mettre en lumière notre approche unique en matière de gestion des médias sociaux et de marketing d’influence, qui va chercher toute sa force dans notre maîtrise des relations publiques.»
7-8: Les deux pieds sur son X
Fondée le 1er mai 2018 (on le rappelle), l’agence de Marilyne s’inspire de cette date pour mettre en lumière ses valeurs. «Le 1er mai, c’est la Journée internationale des travailleur·euses. Ça a toujours été important pour moi de reconnaître le travail des gens avec qui je m’affilie. Marelle Communications, c’est aussi une occasion pour moi de créer un climat et un lieu de travail respectueux et ouvert. Ce n’est donc pas un hasard si j’ai choisi cette date d’anniversaire pour mon entreprise.» Car, pour cette professionnelle de la communication, l’une des valeurs clés de son métier est le plaisir de travailler. «Je suis convaincue que si on est passionné·e par ce que l’on fait, ça peut non seulement être valorisant sur le plan personnel, mais ça peut également créer des rencontres incroyables et des opportunités qui nous font grandir professionnellement.» Cette passion de son métier, Marilyne l’insuffle au mieux de ses capacités à son équipe et sa clientèle. «Je pense qu’il est vraiment important d’aimer ce qu’on fait dans la vie et de s’investir à fond dans ce qui nous passionne. Je crois que le plaisir et la passion vont de pair et qu’ils sont essentiels pour réussir dans la vie. C’est grâce à ces valeurs que j’ai pu créer une entreprise florissante tout en offrant un service exceptionnel à ma clientèle.»
9: Tirer son épingle du jeu
Cinq ans, c’est un bon moment pour faire un bilan, selon Marilyne. «Quand j’y repense, j’ai eu des contrats grâce à mon réseau de contacts et à des références, ça veut donc dire que les gens ont eu de belles expériences en ma compagnie. Ça se confirme lorsque la clientèle nous recontacte pour de nouveaux mandats, cette fidélité communique qu’on est efficace. Et puis l’une de mes fiertés, c’est la stabilité de mon équipe, qui ne demande d’ailleurs qu’à s’agrandir. Aujourd’hui, Marelle Communications, qui compte cinq merveilleuses professionnelles, est à la recherche de nouveaux talents.»
Et quel avenir nous réserve Marelle ? «Les projets d’avenir sont selon moi juste une extension de ce qu’on a déjà réalisé en cinq ans d’existence, soit: le développement et la croissance, mais surtout le renforcement des relations qu’on entretient avec nos partenaires et notre clientèle. On se concentre depuis le tout début à offrir un service de qualité et force est d’admettre que ça rapporte. Depuis 2022, on est membre de Travel Lifestyle Network, un réseau mondial d’agences de relations publiques indépendantes spécialisées dans les secteurs du tourisme et de l’art de vivre. Cette affiliation est grandement bénéfique pour nous, mais aussi pour notre clientèle qui bénéficie de l’expertise de centaines de spécialistes à l’international en matière de relations publiques.»
Photo: Donald Robitaille