Un parent peut réduire de moitié les risques de consommation de drogue chez son enfant, simplement en discutant avec lui. Sʼappuyant sur cette réalité, DesArts communication signe, pour le Québec, la première campagne originale de prévention pour les besoins du Partenariat pour un Canada sans drogue (PCSD).

Sous le thème «Faut quʼon se parle», la campagne, qui commencera ce printemps par une diffusion de deux messages télévisés, offre un moment empreint dʼémotions. Un père et sa jeune adolescente, aux prises avec des problèmes de consommation, livrent leurs souffrances respectives, seul à seul, devant le miroir de la salle de bain familiale. Le message: se parler avant quʼil ne soit trop tard.

Au delà de la croyance populaire «ça ne concerne pas mon enfant», la consommation de médicaments dʼordonnance à des fins non médicales par les jeunes est une réalité de moins en moins marginale, où le parent devient une victime collatérale. Dans un souci de prévention et dʼéducation, PCSD, au moyen de cette toute nouvelle campagne, cherche à offrir des outils adéquats, afin dʼouvrir et de faciliter le dialogue entre parents et enfants.

Actuellement présentée sous forme de deux messages télévisés dʼune durée de 30 et 15 secondes, la campagne «Faut quʼon se parle» sʼexprimera au cours des prochaines semaines par le biais de la radio, des journaux et magazines ainsi que de lʼaffichage numérique dans divers commerces et lieux publics.

Le Partenariat pour un Canada sans drogue est une organisation caritative enregistrée, composée de partenaires bénévoles du secteur privé oeuvrant dans les domaines des médias, de la publicité, de la production, de la recherche ainsi que du milieu corporatif. Son objectif est de réduire lʼessai des substances illicites et le mauvais usage des médicaments dʼordonnance par les jeunes au Canada, au moyen de campagnes nationales de prévention par le multimédia.

Pour connaître les crédits de cette campagne, lisez le bulletin Grenier aux nouvelles du 16 avril 2012.