Depuis déjà deux semaines, toutes les grandes organisations et les PME québécoises sont en mode survie, mais l’une des responsabilités d’un gestionnaire est de planifier l’après-crise durant la crise. Une majorité d’entreprises ont mis sur pied une « SWAT Team » ou une « War Room » pour gérer les opérations, les communications à l’interne comme à l’externe, les finances, et les RH conseillent la haute direction dans sa prise de décisions.
À ce jour, tout semble bien se dérouler considérant la situation extrême, et les impossibles prédictions sur le retour à la normale sont sur toutes les lèvres. Le positionnement des entreprises lors d’un retour à la normale déterminera comment les organisations sortiront de cette crise. Entrepreneurs et dirigeants, serez-vous prêts à positionner votre entreprise dans un raz-de-marée d’information d’après-crise ?
L’Institut de la crédibilité offre une méthode pour construire, reconstruire et gérer la confiance et la crédibilité pendant et après une crise. L’Institut offre aussi un tableau de bord interactif accessible par tous les membres d’une équipe de travail visant à bonifier la stratégie élaborée par les agences de communication.
« Je travaille en gestion de crise et en relations publiques depuis plus de 20 ans et j’ai toujours répété que c’est dans le désordre qu’on fait de l’ordre. Il est grand temps de travailler sur les actifs intangibles, malmenés depuis le début de la crise. Malgré la gestion de la situation actuelle, les entrepreneurs doivent déjà penser à la reconstruction de la confiance et de la crédibilité de leur entreprise, c’est une question de survie. C’est une question de communication vitale avec les clients et les parties prenantes. Des actifs intangibles bien gérés représentent une grande valeur pour les investisseurs, première partie prenante que les entrepreneurs vont appeler après la crise » explique Stéphane Prud’homme, président-fondateur de l’Institut de la crédibilité.