Toute organisation publique, associative ou privée aura, un jour ou l’autre, à se positionner sur des enjeux sociétaux. Que ce soit en matière de défense de leurs propres intérêts, ou encore avec un objectif de justification de leur mission première, les organisations se positionnent régulièrement ou réagissent face à des décisions gouvernementales – nul besoin de monter une large revue de presse pour s’en convaincre.

Le contexte actuel des finances publiques, avec une attention particulière aux dépenses par la commission de révision permanente des programmes présidée par l’Honorable Lucienne Robillard, fait en sorte que la quantification des retombées économiques et sociales des dépenses étatiques devient un passage obligé.

En ce sens, toute organisation souhaitant publiquement réagir ou revendiquer une politique publique, une dépense liée à un programme ou encore une réglementation touchant un secteur précis, doit désormais inclure dans sa stratégie de communication un volet quantitatif répondant à cette prémisse.

Traditionnellement, ce volet était imparti à des firmes comptables qui venaient apposer un sceau de crédibilité à des études d’impacts économiques. L’ancienne mouture de SECOR, développée par le regretté Marcel Côté, en avait fait sa spécialité. La plupart des grandes boîtes de comptabilité ont suivi SECOR depuis. Les comptables ont damé le pion aux économistes dans leur propre champ de pratique.

Or, le milieu de la communication en alliance avec la profession économique peut occuper ce secteur important du positionnement public et offrir une solution globale touchant à la fois les relations publiques, les relations gouvernementales et la rédaction de ces études quantitatives. En unifiant toutes ces dimensions de la communication stratégique, les résultats pour la clientèle ne peuvent qu’être maximisés et bien souvent à un coût moindre que l’actuel modèle de l’éparpillement des ressources.

Celui-ci inclut souvent l’utilisation d’un cabinet en relations publiques et gouvernementales et d’experts comptables – ce qui rend difficile, dans ce contexte, toute notion d’optimisation de stratégie pour le client.

Cette approche de communication stratégique à forte valeur ajoutée en contenu quantifié permet d’offrir un panier de services beaucoup plus diversifié à la clientèle.

Cohn & Wolfe | Montréal est le premier cabinet du Québec à offrir ce service à sa clientèle. En plus de porter le message et de dessiner des stratégies, c’est désormais la composition du contenu et sa validation quantitative qui sont offertes.

Les comptables ont beaucoup de qualités, mais la communication stratégique ne fait pas partie de leur coffre à outils. Leurs limites deviennent les opportunités de demain pour les communicateurs sachant manier le quantitatif.

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Un texte de Pierre Langlois, directeur des relations gouvernementales et des affaires publiques chez Cohn & Wolfe | Montréal.