Plaisirs Gastronomiques fait un retour sur la scène publicitaire avec une relance de sa campagne à succès conçue et réalisée par Sid Lee et Simon-Olivier Fecteau, mettant en vedette le comédien Bruno Marcil. Cette fois, des chefs de renom se sont prêtés au jeu en se faisant duper par le fameux Bruno qui ne sait pas cuisiner. Composée de six publicités télé, mettant en vedette, entre autres, Soeur Angèle et Louis-François Marcotte, la campagne sera officiellement déployée le dimanche 29 janvier, lors de l’émission Tout le monde en parle. Au cours des deux heures d’antenne, les six publicités télé seront mises en ondes.

Les résultats de la première campagne avaient été tels que l’équipe de Plaisirs Gastronomiques ne cherchait pas à faire une nouvelle campagne coûte que coûte. «Peu de gens ont l’impression que nous avons été absents de l’écran ces cinq dernières années, mais tôt ou tard, il fallait à nouveau communiquer, révèle Christophe Beauvais, président de Plaisirs Gastronomiques. Il fallait certaines conditions pour un retour et elles ont toutes été réunies: confier de nouveau le mandat à Sid Lee ainsi qu’à la même équipe de créatifs qu’en 2006-2007, incluant Simon-Olivier Fecteau, confirmer le retour de Bruno Marcil comme personnage principal de la campagne et surtout nous assurer d’une évolution encore plus marquée des messages publicitaires.»

Pour Sid Lee, cette campagne représente une opportunité de collaborer à nouveau avec des créatifs qui ont mené leur carrière vers de nouveaux sommets depuis leur dernière rencontre, soit Eva Van den Bulcke, Simon-Oliver Fecteau et Louis-Thomas Pelletier, concepteur-rédacteur chez Sid Lee à l’époque. Cette fois, leur expérience acquise depuis a amené une plus grande multidisciplinarité autour de la table. «Nous avons eu énormément de plaisir à travailler ensemble en 2006 et c’est cette même ambiance que nous avons réussi à recréer, indique Eva Van den Bulcke, codirectrice à la création et associée chez Sid Lee. Le noyau du projet était inspirant, et Christophe nous faisait tellement confiance qu’il nous appelait parfois tard le soir inquiet que les scénarios ne soient pas assez «caves» (le mot d’ordre de la création). Cette dynamique nous a donné la chance d’améliorer notre recette initiale pour mieux unir création et gastronomie, avec une touche de ridicule.»

Avec des publicités qualifiées davantage de mini-pièces de théâtre, Plaisirs Gastronomiques voulait divertir le public et rendre à son consommateur un autre moment agréable de consommation, cette fois, visuel. «L’humour plaît et plaira toujours, ajoute Christophe Beauvais. Avec notre approche au second degré, on accepte en quelque sorte de s’amuser avec notre marque ou de pas trop nous prendre au sérieux (comme souvent les chefs peuvent le faire) et je suis convaincu que, lorsque nous sommes moins conformistes et plus osés, le consommateur nous le rend à son tour. Et c’est super, puisque nos chefs de renom ont accepté d’être relayés au second plan.»