Marc Lanouette Président | Tank et chef de la direction | GREY Canada
Crédit photo : Donald Robitaille

Expression utilisée fréquemment : You gotta believe. J’ai depuis toujours utilisé cette expression-là. Je la répète assez souvent, c’est devenu un motto !
Film favori : Un toss entre E.T. et Dead Poets Society.
Occupation préférée : Fervent skieur, je fais du ski et des voyages de ski chaque année. Je dirais que le ski est ma plus grande passion après la pub.
Fun fact : J’apporte mon chien au bureau 1 semaine sur 2, car j’en ai la garde 1 semaine sur 2. (RIRES) Elle s’appelle Maggie et c’est la mascotte du bureau. Les gens sont tristes quand elle n’est pas là !

Ce qu’implique le gain de Revlon pour TANK

Marc : Ce gain explique un peu la concrétisation du pourquoi on a décidé de s’allier à un réseau comme Grey. La raison pour laquelle on a décidé de faire le move, c’est parce que ça devenait plus difficile d’aller chercher des gains à l’extérieur du Canada et ramener de l’ouvrage ici. C’était dans l’optique de ramener de l’ouvrage international à Montréal. Et ça veut dire beaucoup. Ça veut aussi dire qu’on a fait le bon choix !

Une nouvelle qui donne des ailes

Marc : L’agence est super enthousiaste et super excitée. La nouvelle a été accueillie avec beaucoup de joie à l’interne. C’est la chance de travailler sur de gros mandats et travailler sur des créations originales qui vont rayonner à travers le monde. Pour une organisation comme la nôtre, ça donne des ailes pour beaucoup de gens à l’interne. Ça fait qu’on commence à y croire de plus en plus. On a beau croire qu’on peut franchir toutes les frontières, mais c’est lorsqu’on a des gains comme ça qu’on y croit. C’est vrai qu’on peut faire de la job mondiale à partir de Montréal.

TANK contre Goliath

Marc : Il a fallu quelques étapes pour se rendre à la finale du processus de pitch, qui s’est déroulée dans nos bureaux de New York avec toute l’équipe complète de Revlon. On était en finale contre une agence de New York qui fait partie d’un gros network mondial : c’était TANK contre Goliath. Quand on se bat contre des grosses agences de New York, on est de nature complexée. Mais on n’a pas à l’être. On a un talent brut qui existe ici, surtout à Montréal. Le futur de notre industrie dépend un peu de ce genre de gain là, d’être apte d’aller chercher des mandats à l’extérieur du Canada et de les ramener ici. C’est la raison pour laquelle on a décidé de se joindre à un network et on commence à voir les dividendes. Ce qui est le fun, c’est qu’on est dans un momentum en ce moment. On travaille sur deux autres grosses opportunités, qui, on espère, se concrétiseront avant la fin de l’année.