Le Vendredi noir, le Cyber lundi, Noël, le Boxing Day… les occasions d’achat approchent à grands pas et sont, pour les marques, un moment opportun pour attirer les consommateurs québécois. Pour maximiser l’impact de la vente en ligne et en magasin, la programmatique en temps réel est une solution à votre portée.

D’après l’étude du groupe Altus, diffusée par le Conseil Québécois du Commerce de Détail* (CQCD), les ménages québécois prévoient dépenser 654 $ durant la période des Fêtes 2015. Plus du quart d’entre eux ont l’intention d’effectuer leurs achats en ligne, un chiffre en hausse comparativement à 2014. Plus de 60 % des Québécois ont l’intention de se rendre en magasin avant la période achalandée de décembre, alors que le tiers compte attendre au dernier moment.

Rappelons que la programmatique en temps réel est un processus automatisé qui permet d’adresser le bon message à la bonne personne, et ce, au bon moment et de la bonne manière. Nous parlons donc d’ultraciblage de l’audience, en touchant précisément les intentionnistes des marques, c’est-à-dire ceux qui ont déjà un intérêt pour unetelle marque. Mais en quoi la programmatique peut-elle aider les marques québécoises à recruter et à fidéliser de nouveaux clients ? Voici un décryptage de cette solution e-marketing efficace.

Stratégie n° 1 : le reciblage publicitaire Il s’agit de recibler un internaute qui aurait quitté le site transactionnel d’une marque sans effectuer d’achat.

L’avantage est simple : toucher cet internaute en mettant de l’avant, sous forme de bannières publicitaires, le dernier produit qui a suscité son intérêt. Ces bannières seront visibles sur les sites Web qu’il visite habituellement et dans une logique multi-écrans, selon le parcours de l’utilisateur.

Cette stratégie peut être complétée par une phase de pré-ciblage, avant la période des Fêtes ou le jour même du Vendredi noir, afin de pouvoir bénéficier d’un bassin d’audience intéressé.

Le reciblage publicitaire est complémentaire à une stratégie d’envoi d’infolettres à ses abonnés (abandons de panier d’achat ; informations commerciales) : un simple cookie posé sur ledit courriel permettra de mettre en place un levier, afin de proposer aux contacts de (re)venir sur le site de la marque.

Stratégie n° 2 : la géolocalisation d’un point de vente Si la géolocalisation standard permet de délimiter géographiquement une campagne de communication numérique sur une ville, sur une région ou sur un pays, la géolocalisation sur mobile se veut encore plus précise. Il est dorénavant possible de cibler les intentionnistes simplement à partir de la fonction de géolocalisation de leur appareil mobile, dans un périmètre d’un kilomètre autour du point d’intérêt sélectionné.

C’est un levier extrêmement puissant pour les marques et complémentaire à une stratégie en ligne, avec pour objectif d’augmenter le trafic en point de vente, via une offre promotionnelle, pour inciter à l’achat.

Stratégie n° 3 : l’utilisation de l’écoute radio Reconnue comme un média d’accompagnement, la radio est un véhicule très efficace pour la période commerciale des Fêtes et, surtout, elle est accessible en programmatique. Combinée aux différentes options de ciblage, soit le type et le format des contenus, ou la géolocalisation et le profil de l’audience, la radio permet une écoute qualifiée de la marque auprès de ses intentionnistes.

La diffusion de l’annonce publicitaire se fait au cours de la programmation qu’écoute la personne ciblée. Ce processus est aussi envisageable sur Internet, de même que sur l’appareil audio mobile.

Précisons que la programmatique permet l’évolution des tactiques en cours de campagne. Elles permettent également d’ajuster les stratégies et elles répondent à un seul mot maître : la performance !

Les ménages québécois considèrent les détaillants américains en ligne, ou physiques, comme une option possible pour acheter des produits à l’occasion des Fêtes (soit 62 % des personnes interrogées par Accenture)**. Il est donc grand temps pour les marques québécoises d’investir sur des solutions qui gagnent à tout coup.

*Source : Étude Groupe Altus — CQCD
Source : firme de consultation en gestion **Accenture