L’année 2017 a commencé avec ce vœu de bannir les bouteilles de 500 ml. J’avais d’abord invité la Ville de Sutton à le faire dans tous ses édifices, puis j’avais créé un blogue, bannirbouteilles500ml.blogspot.ca, afin de convaincre de plus en plus de gens. Le matériel que j’ai créé pour le temps des fêtes 2016-2017 a même remporté un certificat d’excellence au concours la 24e édition des Greniers d’or, dans la catégorie Grandes causes.

Slogan conçu par Martine Anctil, Marielle Calvé, Sabrina Di Battista et Karine Hallé, étudiantes du cours Publicités sociétales et humanitaires.

Dès le début de janvier, c’était la reprise du cours de Publicités sociétales et humanitaires que j’ai créé en 2003 au Certificat en publicité, Faculté de l’éducation permanente, Université de Montréal. Comme à l’habitude, trois campagnes de communication ont été élaborées par les étudiants pour des organismes sans but lucratif Petites-Mains, D’Arts et de rêves et Foire Écosphère. Parallèlement, je donne aussi des mandats semblables aux étudiants des cours Stratégies de création, aussi au Certificat en publicité et Éléments de publicité, au baccalauréat en communication, toujours à l’Université de Montréal. À l’hiver, les étudiants ont travaillé sur des projets des organismes Le Rebond et le Musée des communications et d’histoire de Sutton, alors qu’à l’automne, ils ont réalisé des concepts pour la Fondation Rêves d’enfants et le Cirque Hors Piste.

Yvette Ishimwe, jeune entrepreneure rwandaise qui a lancé Iriba Clean Water Delivery, qui distribue de l’eau potable dans le district de Kayonza au Rwanda.

Deux formations à l’Université Senghor en 2017. La première en mars aux départements Environnement et Administration-Gestion, avec comme mandat de réaliser une campagne pour Iriba. La seconde en novembre, au département Santé, où on a travaillé sur des campagnes pour contrer le paludisme. Plusieurs de ces travaux sont réalistes et réalisables. Peut-être verra-t-on une de ces campagnes se réaliser en 2018?

J’ai aussi eu le plaisir de présenter quelques ateliers et conférences cette année. En mars, Évolution du marketing sociétal, aux étudiants de Louiselle Roy, d’Alliance Québec Animation, à l’école Polytechnique de Montréal. En mai, atelier de marketing sociétal, donné à des travailleurs dans des organismes sans but lucratif dans les locaux d’Amnistie internationale à Montréal.

En août, j’ai été panéliste à la troisième édition de Convention d’affaires Canada-Afrique 2017. En juin, conférence à la Fédération des centres d’action bénévole du Québec, intitulée Une identité régionale propre et une image nationale forte, à Québec. En octobre, une conférence intitulée S’écouter pour mieux s’entendre, en collaboration avec la Société nationale de l’Estrie à Sherbrooke. Finalement, en novembre, j’ai prononcé une conférence sur Jehane Benoit, 30 ans après son décès, à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec, à Montréal.

En novembre, en route pour donner une formation à Alexandrie, j’ai pu transiter par Londres et enfin tourner des images du clip que je souhaite réaliser depuis 2016 pour souligner mes 30 années d’association avec Amnistie internationale. Le montage devrait se terminer au début de l’année 2018.

Toujours pour Amnistie, dès mon retour à Montréal, je suis allé tourner des clips pour le Congrès des jeunes. Là encore, il me reste à finir les montages de la douzaine de clips. Puis en décembre, j’ai organisé pour une cinquième année, avec la collaboration d’Andréanne Larouche, Anne-Marie Courtemanche, ainsi que Josée et Jean-François du resto Le Cafetier, un Marathon d’écriture d’Amnistie à Sutton. Nous avons récolté 176 cartes de souhaits qui ont été envoyées dans dix pays, dont le Canada, où les droits de la personne ne sont pas toujours respectés...

Toujours membre de quatre conseils d’administration dans ma chère région, j’ai contribué au comité des communications de chacun d’entre eux. J’ai, entre autres, créé un nouveau logo pour le Regroupement Soutien aux Aidants de Brome-Missisquoi, dont je suis le vice-président. Après une année 2016 difficile à cause de coupures de subventions, on a vraiment redressé la situation en 2017 ! On a aussi engagé une nouvelle directrice générale, Christelle Bogosta, elle-même ancienne présidente de l’organisme. J’en profite pour remercier Veerle Beljaars, qui a joué ce rôle plusieurs années, avec la création, puis la construction de la première Maison Gilles-Carle au Québec, avec la collaboration de Chloé Sainte-Marie. Quelques autres maisons ouvriront leur porte en 2018, dont celle de Boucherville.

Pour le Centre de pédiatrie sociale en communauté Main dans la main, j’ai aussi collaboré à plusieurs communications pour faire connaître cet organisme toujours en croissance, notamment pour faire la promotion d’événements spéciaux comme Tout feu tout cœur et À auteur d’enfant, ainsi que la célèbre Guignolée du Dr Julien, avec laquelle nous avons récolté près de 50 000 $ en décembre!

Avec D’Arts et de rêves, j’ai réalisé des images des lieux et des clips avec les artistes en résidence afin d’alimenter le blogue de l’organisme et sa page Facebook. J’ai aussi créé l’affiche Papillons à la carte! pour notre première campagne de sociofinancement où nous vendions des cartes de souhaits d’artistes locaux, Brigite Normandin et Isabelle D’Hauterive, accompagnées de semences d’asclépiade, plantes reconnues pour attirer les monarques dans nos jardins. Objectif de financement atteint. Plein de projets à développer en 2018 encore, dont une sculpture vivante en saule qui servira de cocon d’observation des oiseaux et des papillons.

Garnotte, Lyne Bessette et Veerle Beljaars, directrice générale de la Maison Gilles-Carle et conseillère à la Ville de Sutton, qui vient d’acquérir une caricature autographiée de Garnotte!

Du côté du Musée des communications et d’histoire de Sutton, nous avons organisé une expo mettant en vedette le vélo, de plus en plus présent dans notre belle région, mais aussi des personnalités comme Lyne Bessette, née à Lac-Brome, toujours résidente de Sutton et tellement performante encore, Clara Hugues qui a vécu à Glen Sutton et qui demeure la seule Canadienne à avoir remporté des médailles olympiques à des jeux d’hiver, en patinage de vitesse et d’été, à vélo, sans oublier le caricaturiste Garnotte et ses caricatures où le vélo était présent!

Publici-Terre a aussi collaboré avec des organismes de la région, en commençant par l’Association des personnes handicapées physiques de Brome-Missisquoi, travaillant d’une part à la campagne de financement et, d’autre part à la gestion de la page de l’organisme. 2018 marquera par ailleurs le 10e anniversaire de collaboration entre ces deux organismes et une nouvelle campagne sera créée par des étudiants de l’Université de Montréal, comme il y a 10 ans! On peut d’ailleurs gagner une œuvre de l’artiste Brigite Normandin en aimant cette page Facebook!

Pour une deuxième année, Publici-Terre a géré la page Facebook du Tour des Arts, qui en était à sa 29e édition. Grâce particulièrement à des clips créatifs, l’organisme a dépassé tous ses chiffres de fréquentation de sa page, mais aussi attiré plein d’acheteurs, permettant ainsi à une majorité de membres de faire de meilleures affaires pendant ces dix jours de visites des ateliers des artistes et des artisans.

Pour une quatrième année, Publici-Terre a aussi collaboré aux communications du Festival de violon traditionnel du Québec. La musique traditionnelle connait une progression fort intéressante dans notre région et là encore, l’utilisation des réseaux sociaux a participé à la popularité grandissante de cet événement. L’excellente programmation a aussi ravi les participants. Publici-Terre a d’ailleurs déjà commencé à travailler sur le 5e anniversaire de cet événement à l’été 2018!

Publici-Terre continue également de collaborer avec l’organisme Sutton Jazz. Là encore, les clips promotionnels, dont celui diffusé surFacebook permettent d’attirer l’attention des amateurs de jazz, dont celui avec Marianne Trudel qui a atteint plus de 6500 vues! Plus de 20 spectacles dans les rues et quatre en salles font de ce festival un autre événement incontournable de la région.

Une première collaboration avec la Fondation Boulanger-Bédard marque aussi ce bilan de l’année. Là encore, l’utilisation des réseaux sociaux a été monopolisée afin d’augmenter la visibilité de cet organisme qui participe à l’épanouissement des jeunes de notre région. C’est là-dessus que se termine le bilan de 2017 de cet organisme. On anticipe de très belles réalisations en 2018. Pour en savoir plus, suivez-nous sur notre page Facebook... si c’est bon pour les autres, c’est bon pour nous aussi!